domingo, 31 de maio de 2015

Boa noite, amigos de Lusibero! Boa nova semana!


TAÇA de PORTUGAL: Sporting Club de Portugal vence o Sporting de Braga, depois da fase de prolongamento, por marcação de grandes penalidades!





SPORTING CLUBE DE PORTUGAL VENCE A TAÇA de PORTUGAL, EM JOGO CONTRA O SPORTING de BRAGA, NO ESTÁDIO DO JAMOR!

"Le Monde"


Les Européens à la fois fiers et scandalisés de figurer sur la « liste noire » de Moscou

Le Monde.fr avec AFP et Reuters | 31.05.2015 à 02h00 • Mis à jour le 31.05.2015 à 14h39
Abonnez-vous
à partir de 1 € Réagir Classer

Partager facebook twitter google + linkedin pinterest





L’Europe hésitait entre fierté et dénonciation, samedi 30 mai. Au lendemain de la révélation de l’existence d’une « liste noire » russe, où figurent les noms de personnalités politiques européennes interdites d’entrer sur le territoire, nombreux sont celles qui se sont félicitées d’en faire partie, tandis qu’au niveau institutionnel, les pays membres accusent la Russie d’envenimer les relations UE-Russie, déjà tendues.

Lire : Moscou a émis une « liste noire » de personnalités politiques de l’UE interdites sur le sol russe

« Lorsque j’ai vu les autres noms [sur la liste], j’ai [aussitôt] pensé que je faisais partie d’un club très honorable », a déclaré samedi 30 mai l’ancien ministre tchèque des affaires étrangères Karel Schwarzenberg, un aristocrate de 77 ans connu pour ses critiques de la politique de Moscou à l’égard de l’Ukraine. « Je considère cela comme une récompense », a ajouté ce député, cité par l’agence de presse tchèque CTK.
« Engagement inchangé »

Pour certaines personnalités, figurer sur la liste est une preuve de l’efficacité de leur action en faveur de l’Ukraine. « Etre sur cette liste ne change pas mon engagement envers le peuple de l’Ukraine », a écrit sur son compte Twitter l’eurodéputée suédoise Anna Maria Corazza Bildt, connue pour ses critiques à l’encontre du président russe. « Je me sens davantage fière que je n’en ai peur (…) La liste de Poutine confirme que je fais bien les choses en tant que parlementaire », a-t-elle ajouté.



Faites jusqu'à 120€ d'économie sur l'entretien de votre auto

Roulez avec des pneus Michelin et faites des économies.

Un eurodéputé tchèque et ancien journaliste, Jaromir Stetina, s’est dit, quant à lui,« très fier de figurer sur la liste » en compagnie d’autres personnalités et collègues du Parlement européen.

Au total, 89 personnalités européennes sont citées sur cette liste que Moscou ne souhaite pas rendre publique, mais dont une copie a fuité. On y trouve notamment les noms d’hommes et de femmes politiques polonais, suédois, allemands, tchèques, néerlandais, finlandais et belges, parmi lesquels le président du groupe libéral au Parlement européen et ancien premier ministre belge Guy Verhofstadt et l’ex-président du Parlement européen et ancien chef du gouvernement polonais Jerzy Buzek. Idem pour, l’ex-ministre suédoise de centre droit Lena Adelsohn Liljeroth et le président du sénat polonais, l’ancien opposant Bogdan Borusewicz.

En ce qui concerne la France, quatre personnes sont nommées : l’intellectuel Bernard-Henri Lévy, le président du Comité économique et social européen, Henri Malosse, le patron des députés socialistes, Bruno Le Roux, ainsi que Daniel Cohn-Bendit, ancien eurodéputé qui vient d’obtenir la nationalité française, et s’est dit amusé de sa présence sur la liste : « Je trouve ça très drôle », a-t-il déclaré à Reuters. « Ça correspond au régime poutinesque, ça aurait été vraiment triste que Poutine me considère comme son ami », a-t-il ajouté.

Le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, élu jeudi soir, a apporté son soutien à Bruno Le Roux : « Le parti socialiste, solidaire de Bruno Le Roux, est désireux qu'un grand pays comme la Russie soit un partenaire respecté qui nous respecte. C'est pourquoi nous demandons à messieurs Poutine et Lavrov de revenir sur cette décision qui ternit l'image de leur pays en Europe ».
Une liste impossible à contester

L’établissement de « la liste noire » et son caractère secret ont par ailleurs été dénoncés par plusieurs chancelleries européennes. « La moindre des choses aurait été que l’on fasse connaître aux personnes concernées les réserves qui les concernent réellement, ou au moins que l’on rende ces listes publiques », a déclaré samedi le ministre allemand des affaires étrangères Frank-Walter Steinmeier. « A un moment où nous nous efforçons de désamorcer un conflit âpre et dangereux au cœur de l’Europe, cela n’aide pas », a-t-il ajouté, selon un communiqué.

Lire aussi (édition abonnés) : L’Europe veut calmer le jeu face à la Russie de Poutine

Dès vendredi, l’action de Moscou a été condamnée par le premier ministre néerlandais Mark Rutte qui a indiqué que son gouvernement « en informerait Moscou dans des termes non équivoques ». La liste russe « n’est pas fondée sur le droit international, n’est pas transparente et il est impossible de la contester »devant un tribunal, a-t-il souligné.

La liste, où figurent neuf Britanniques dont le patron du renseignement MI5, Andrew Parker, le chef d’état-major de l’armée, Nicholas Houghton, l’ancien vice-premier ministre Nick Clegg et l’ancien ministre des affaires étrangères Malcolm Rifkind, n’a « absolument aucune justification », a réagi samedi le gouvernement britannique.

L’ambassadeur de Russie auprès de l’UE, Vladimir Tchijov, avait confirmé la semaine dernière l’existence d’une telle liste, tout en précisant qu’il ne s’agissait« pas de dirigeants ou de hauts responsables de pays ». « Une telle liste existe vraiment. Et personne n’y a été placé par hasard », avait-il souligné. Une autre liste concerne aussi des citoyens américains, a déclaré samedi un responsable du ministère aux médias russes.
« Pas une surprise »

« C’est un comportement (…) qui n’améliore pas malheureusement l’image de laRussie », a déclaré vendredi la ministre suédoise des affaires étrangères Margot Wallström à l’agence de presse TT. En revanche, pour son homologue finlandais Timo Soini, il est inutile de « trop dramatiser » cette affaire. « C’est une réaction attendue à l’interdiction faite (par l’Union européenne) à des citoyens russes de voyager (sur le territoire de l’UE). Ce n’est pas une grande surprise », a-t-il écrit sur un blog.

Au fil de la crise en Ukraine, l’UE a complété sa propre « liste noire », qui compte désormais quelque 150 noms et une quarantaine d’entités, et pris des mesures plus sévères contre la Russie, visant des pans entiers de l’économie.

Lire aussi (édition abonnés) : Sans illusion, l’UE durcit ses sanctions contre Moscou

En "El Pais"


El PP pierde su poder de veto tras 20 años en la Asamblea de Madrid

El PP lleva cinco legislaturas imponiendo su mayoría en la Mesa, donde ha contado los últimos cuatro años con cuatro de los siete miembros

JOSÉ MARCOS Madrid 31 MAY 2015 - 00:00 CEST

Recomendar en Facebook2.270
Twittear93
Enviar a LinkedIn0
Enviar a Google +0
Comentarios1

Archivado en:
Esperanza Aguirre
Cristina Cifuentes
Parlamentos autonómicos
PP
Comunidad de Madrid
Política autonómica
Crisis partidos
España
Parlamento
Partidos políticos
Política


La Asamblea, durante una sesión plenaria celebrada esta legislatura. / CLAUDIO ÁLVAREZ

Enviar
Imprimir
Guardar



El Partido Popular dejará de tener el control, tras 20 años de ejercerlo, en la Mesa de la Asamblea de Madrid, el órgano que califica, con su visto bueno o rechazándolas, las propuestas de los grupos políticos representados en el Parlamento. El PP lleva cinco legislaturas imponiendo su mayoría en la Mesa, donde ha contado los últimos cuatro años con cuatro de los siete miembros que la componen, mientras PSOE, IU y UPyD tenían un representante cada uno. En caso de empate, el presidente de la Mesa, del PP, tenía capacidad de veto.

Si por algo se ha caracterizado la Asamblea desde 1995, tiempo que el PP lleva gobernando la Comunidad de Madrid de forma ininterrumpida, es por el rodillo parlamentario que ese partido ha aplicado, afianzado en las mayorías absolutas que ha ido logrando. El resultado electoral del pasado domingo, en el que el PP perdió casi 20 puntos de apoyo —bajó del 51,73% de votos en 2011 (72 diputados) al 33,10% (48)—, supone un cambio radical en el funcionamiento del Parlamento regional.


El Parlamento más opaco de España

Transparencia Internacional situó el año pasado al Parlamento de Madrid como el más opaco de los 17 que hay.

La Asamblea obtuvo una puntuación de 65 puntos sobre 100 (la media fue de 88,6). Murcia fue penúltimo con 79 puntos y Canarias el antepenúltimo con 80.

Castilla y León, Cataluña y País Vasco lograron la máxima puntuación en el índice de transparencia.

La pérdida de control de la Mesa —en el peor de los escenarios el PP contará en ella con dos representantes y en el mejor con tres, a uno de la mayoría absoluta— obligará a su candidata, Cristina Cifuentes, “a buscar pactos y cambiar las costumbres absolutistas de los últimos años”, señala un dirigente de la dirección regional del partido. Una afirmación con la que coinciden los demás partidos. “Llega un nuevo tiempo para hacer política. Una institución es fuerte cuando es más participativa y más democrática”, reflexiona Ángel Gabilondo (PSOE). “Nuestras expectativas son hacer un trabajo institucional de verdad. El Parlamento regional va a tener un peso que no ha tenido en anteriores legislaturas... Hay mucho que hablar en Madrid, y por eso la Asamblea va a ser fundamental”, observa José Manuel López (Podemos). “No solo hay que abrir las ventanas, hay que levantar las alfombras de la Asamblea”, añade Ignacio Aguado (Ciudadanos).

El cambio de estilo de la Mesa marcará tanto el funcionamiento del Parlamento como los asuntos que se traten en el hemiciclo, cuyas sesiones ya no se alargarán hasta la madrugada. Las opciones que se barajan son que empiecen por la mañana (ahora lo hace a las 16.00) o se dividan en dos días.

La previsión es que los siete miembros de la Mesa sean elegidos el 9 de junio, mediante cuatro votaciones. En la primera se vota al presidente. El PP necesita el apoyo de los 17 diputados de Ciudadanos para garantizar que salga elegido su candidato frente a la opción que presenten el PSOE (37 escaños) y Podemos (27). En caso de no resultar elegido el presidente por mayoría absoluta, los dos parlamentarios propuestos resolverían el empate en una segunda ronda de votaciones.


Cuatro de los siete miembros son del PP

Al cierre de esta legislatura, los cuatro representantes del PP en la Mesa eran el presidente del hemiciclo, José Ignacio Echeverría; Jacobo Ramón Beltrán Pedreira (vicepresidente primero); María Isabel Redondo Alcaide (secretaria primera); y Carlos González Pereira (secretario tercero). Rosa Posada falleció en octubre de 2014 cuando era vicepresidenta primera de la Cámara.

La vicepresidencia segunda de la Asamblea correspondió desde el pasado febrero a Amparo Valcarce, tras la renuncia de Juan Barranco, último alcalde socialista de Madrid. Antero Ruiz ocupó el cargo de vicepresidente tercero, en representación de IU. Enrique Normand, en calidad de secretario segundo, era el miembro en la Mesa de UPyD.

Decidido el presidente de la Mesa, en la siguiente votación se eligen los vicepresidentes primero, segundo y tercero. En principio, PP, PSOE y Podemos se repartirían cada puesto, al ser los tres partidos más votados en las elecciones de la semana pasada.

La elección de los secretarios primero y segundo del órgano de control del Parlamento se resolverían en una tercera votación —en teoría serían para PP y PSOE—, mientras que el tercer y último secretario de la Mesa sería de Ciudadanos. Esto es una excepción, ya que por su condición de cuarta fuerza política no le correspondería el puesto. Existe un precedente, el de UPyD en la legislatura que concluye. Cifuentes está a favor de que todos los grupos políticos con representación parlamentaria tengan presencia en el órgano de gobierno de la Asamblea. Ciudadanos ya ha renunciado a presidir la Mesa, en la hipótesis de que cerrara un pacto con el PP, pero sí reclama al menos uno de sus otros seis asientos.

Responsables del PP, incluidos diputados que repiten en la lista de Cifuentes, comparten la opinión de que el Ejecutivo autónomo “se ha cerrado constantemente en banda”, tanto con Esperanza Aguirre como con Ignacio González, frente a las peticiones de la oposición en esta legislatura.

Los ejemplos del modo en que el PP ha impuesto su supremacía en la Asamblea abundan. EL PAÍS adelantó a finales de 2014 cómo el Tribunal Constitucional le había dado la razón a UPyD en al menos tres sentencias por el veto de la Mesa a debatir y votar iniciativas referidas a Caja Madrid, corrupción y Eurovegas, en septiembre y octubre de 2012 y, posteriormente, entre febrero y abril de 2013. El máximo tribunal falló que se había “vulnerado” el derecho del partido de Rosa Díez “a ejercer las funciones representativas” que marca la ley, e instó a “declarar la nulidad” de los acuerdos de la Mesa. El Constitucional concluyó que se debían “retrotraer” las actuaciones de la Mesa, que debía “adoptar nuevas resoluciones respetuosas con el derecho fundamental reconocido” a UPyD.

En octubre de 2013, este diario también publicó que no había sido aceptada ninguna de las 3.000 preguntas que la diputada socialista María Teresa González Ausín sobre sanidad. Las preguntas, registradas desde el mes de agosto a razón de unas 80 por día, trataban sobre los 32 programas del Servicio Madrileño de Salud (Sermas). Ese ejercicio representó el 40% del presupuesto de la Comunidad (más de 7.000 millones de los 17.048 presupuestados).

El PP también tumbó con su mayoría en la Mesa, en mayo de 2012, la apertura de una comisión de investigación para analizar y evaluar las responsabilidades políticas que pudieran derivarse en relación con la situación de Caja Madrid en el momento de la creación, con otras Cajas de Ahorro, del grupo BFA-Bankia. La Mesa alegó la falta de competencia del Gobierno regional.

Dos Estados Unidos...a preocupação com a situação do jornalista angolano Rafael Marques


Associação dos Advogados norte-americanos "preocupada" com condenação de Rafael Marques


por LusaHojeComentar


Rafael Marques na apresentação do livro "Diamantes de Sangue" em LisboaFotografia © Diana Quintela / Global Imagens


O Departamento de Estado norte-americano mostrou-se também preocupado com o "impacto negativo" que a condenação do jornalista vai ter na liberdade de expressão e de imprensa em Angola.


A Associação dos Advogados norte-americanos considera que o processo judicial que condenou o jornalista angolano Rafael Marques a uma pena suspensa de seis meses de cadeia decorre de "graves irregularidades processuais".

O presidente da Associação dos Advogados norte-americanos (American Bar Association), William C. Hubbard, numa nota difundida este fim de semana nos Estados Unidos afirma estar "preocupado" com os "procedimentos" que levaram à sentença de seis meses de pena suspensa atribuída ao jornalista e ativista de direitos humanos, Rafael Marques, por estarem "marcados por irregularidades inconsistentes" face aos padrões do direito a nível internacional.

O mesmo comunicado refere que a associação acompanhou o caso e os "procedimentos" aplicados permitem concluir que que Rafael Marques não teve "oportunidades" para se defender durante o julgamento que decorreu em Luanda.

"O tribunal falhou ao não considerar as questões relacionadas com a liberdade de expressão e liberdade de imprensa invocadas pela defesa durante o julgamento", indica o mesmo documento.

A organização que representa mais de 400 mil advogados dos Estados Unidos sublinha que vai continuar a acompanhar os "procedimentos" que vão agora decidir o apelo apresentado por Rafael Marques sublinhando que se verificaram "graves violações judiciais" durante o julgamento que terminou na quinta-feira no Tribunal Provincial de Luanda.

Os portugueses novamente angustiados, pelo prazer sádico e anti-natural de passos ..



Costa diz que "é preciso travar a intranquilidade que a coligação instalou"


por LusaHoje8 comentários




O líder socialista disse aos jornalistas que ao longo da manhã de hoje o que mais ouviu foi pessoas angustiadas sobre a incerteza das pensões.


O secretário-geral do PS, António Costa, defendeu este domingo em Resende que a obtenção de uma maioria socialista nas próximas Eleições Legislativas é a melhor forma de "travar a intranquilidade" instalada pela coligação PSD/CDS-PP.

"É preciso travar a intranquilidade, receio e angústia que esta coligação instalou nos cidadãos, sobre o que é que vai acontecer à sua pensão no dia de amanhã. Acho que a melhor forma de o fazer é podermos ter uma maioria que assuma esse compromisso muito claro", alegou.

Depois de uma visita ao Festival da Cereja, em Resende, António Costa sublinhou que o PS assumiu o compromisso de que com um Governo socialista "não haverá qualquer corte nas pensões".

"A sustentabilidade da Segurança Social resultará daquilo que tem de ser prioridade de todos, que é ativar todas as medidas para criação de emprego, pois é o desemprego que está a fazer a Segurança Social perder receita e, simultaneamente, diversificar as fontes de financiamento da Segurança Social", acrescentou.

O líder socialista disse aos jornalistas que ao longo da manhã de hoje o que mais ouviu foi pessoas angustiadas sobre a incerteza das pensões.


INTERNATIONAL BUSINESS
U.S. Urges European Leaders to Solve Greek Crisis Quickly


By JACK EWINGMAY 27, 2015


AdvertisementContinue reading the main story
Continue reading the main storyShare This Page
Email
Share
Tweet
Save
More
Continue reading the main story

DRESDEN, Germany — The United States Treasury secretary urged European leaders on Wednesday to find a solution quickly to the crisis in Greece, stressing that the country’s deteriorating financial condition poses a threat to the global economy.

“Failure to agree on a path forward would create immediate hardship for Greece and broad uncertainties for Europe and the global economy,” the Treasury Department said in a statement summarizing Jacob J. Lew’s remarks, which he made in London before arriving here for a meeting of finance ministers and central bankers from the Group of 7 most industrialized nations.

Mr. Lew said there was a risk that events could get out of control and lead to an “accident.”

“Brinkmanship is a dangerous thing when it only takes one accident,” Mr. Lew said at the London School of Economics. “No one should have a false sense of confidence that they know what the result of a crisis in Greece would be.”
Continue reading the main story
RELATED COVERAGE


With Money Drying Up, Greece Is All but BankruptMAY 25, 2015


E.C.B. Said to Be Unlikely to Cut Greece LooseMAY 19, 2015



Greek Finance Minister Lashes Out at E.C.B. ChiefMAY 14, 2015


Mr. Lew also spoke by phone in the morning to Alexis Tsipras, the Greek prime minister, the Treasury Department said.Continue reading the main story
TIMELINE: GREEK DEBT CRISIS

December 2009 Credit ratings agencies downgrade Greece on fears that it could default on its debt.
May 2010 Europe and Greece reach a $146 billion rescue package, conditional on austerity measures. Some economists say the required cuts could kill the patient.
October 2011 Banks agree to take a 50 percent loss on the face value of their Greek debt.
July 2012 Stocks soar after the head of the E.C.B. says policy makers will do ''whatever it takes'' to save the euro zone.
January 2015 Greek voters choose an anti-austerity party. Alexis Tsiprasbecomes prime minister.
May 2015 Greece quells fears of an imminent default on its debts,authorizing a big loan payment to the I.M.F. It is not clear how much longer Greece can continue to scrape by.


Greece is not officially on the agenda at the G-7 meeting, which is focused on ways to improve global growth, on tax issues and on bank regulation. Mr. Lew’s comments signaled, however, that he is likely to use the meeting to press European leaders to show more willingness to compromise on the terms of further aid that Greece needs in order to continue paying its debts and avoid economic collapse.

Almost since the beginning of the eurozone crisis in 2010, high-ranking American officials have often urged wealthier European countries like Germany to be more generous to Greece and other stricken eurozone countries. But it will be difficult for Mr. Lew to budge the hardened positions of the countries involved.

Three eurozone countries — Germany, France and Italy — are G-7 members, along with Britain, Canada, Japan and the United States.

A spokesman for Wolfgang Schäuble, the German finance minister, declined to comment on Mr. Lew’s remarks. Germany, along with the International Monetary Fund and many other countries in the eurozone, continues to maintain that it is up to Greece to agree to changes in labor regulations, reductions in the number of government workers and other steps intended to save money and improve the performance of the economy. Only then, Germany and others say, will the eurozone leaders agree to more aid for Greece.

Among European officials, there is a widespread feeling that bending the rules to suit a left-wing government in Greece would set a dangerous precedent, and perhaps weaken the eurozone as much as a Greek exit would.

United States officials, though, have expressed concern about the wider consequences for the world economy and international politics. There is fear that if Greece defaults on its debts and drops out of the eurozone, it could be tempted to move closer to Russia. Gazprom, the Russian energy giant, has raised the possibility of routing a gas pipeline through Greece.


AdvertisementContinue reading the main story


AdvertisementContinue reading the main story


AdvertisementContinue reading the main story

There is also concern that problems in Europe could hurt the United States economy at a time when American growth appears to be slowing.

In Athens, Greek officials expressed optimism on Wednesday that they would soon reach an agreement with other eurozone countries, which have provided vital credit. As portrayed by Greek officials, only the details of an agreement remained to be completed.

But there was little sign that the optimism was shared in Brussels or elsewhere among the 19 countries in the eurozone.

The European Central Bank broke on Wednesday from the pattern of recent weeks and did not raise the maximum amount of emergency cash that Greek banks are allowed to borrow. But officials said the decision should not be taken as a signal that the European Central Bank is becoming concerned about its financial exposure to Greek banks, which is more than 110 billion euros, or about $120 billion. Until Wednesday, the central bank had raised the limit on emergency cash it provides in small weekly increments.

A person with knowledge of the discussions among members of the European Central Bank’s Governing Council said the limit was not raised simply because Greece’s central bank did not request an increase.

Officially, the G-7 meeting in Dresden will center on the global economy and how to prevent future financial crises. On Thursday, participants are to hear presentations from leading economists, several of whom are known for their provocative views.

The experts include Lawrence H. Summers, a professor at Harvard University and a former United States Treasury secretary. Mr. Summers has argued that the American economy is suffering from what he calls secular stagnation, caused by excess savings in relation to investment.

Two other Harvard economists are also set to speak: Kenneth Rogoff, known for his research on government debt; and Alberto Alesina, whose research is relevant to the debate about so-called austerity, the severe budget constraints placed on Greece and other countries with debt problems.

Mr. Alesina has argued in research papers that spending cuts by European governments are not necessarily bad for economic growth, but that tax increases can increase the severity of recessions.

Although the German government organized the G-7 meeting this year, only one German economist is on the program, Martin Hellwig, director of one of the Max Planck institutes in Bonn, Germany. Mr. Hellwig has argued for much stricter regulation of banks, including forcing them to rely much less on borrowed money than they do.

Other economists scheduled to speak Thursday in a closed session are Robert J. Shiller, a Nobel laureate and professor at Yale University; Nouriel Roubini, an economist based in New York known for correctly predicting the onset of the financial crisis; and Jaime Caruana, general manager of the Bank for International Settlements, a clearinghouse for central banks based in Basel, Switzerland.

Poema(obra regª)



Poema em:https://www.facebook.com /mariaelisa.ribeiro.75?fref=nf















PARA-ALÉM- DO-"ALÉM"...

Encontrei-me no cosmos,
___ao som de raios de luz nas asas das borboletas,
_____enquanto o trigo crescia nas searas cobertas
_______de florescentes papoulas rubras…rubro sangue da melodia
___________do sangue em que eu nascia!


Ondulava um mar de espigas douradas-
- ao- som- do respirar atento dos ventos.

E enquanto aparecia-a- encontrar-me no mundo
_____conviviam- no- tempo-distante rumores alegres
___________ de antepassados-já-idos,
______________pregados ao velho espelho,
___________________em suave harmonia com o meu crescer
_________________________ Hora-a-Hora- Dia-a-Dia,
__________________________ no branco corredor, onde o espelho antigo
_____________________________ viveria comigo a mais linda história de amor…
_________________________________...amor pela vida-em-flor!

Ouço-o ainda, nas horas de solidão, a lembrar os tempos que Me passaram…

Continua antigo, opaco, distraído…sem a luz profunda de uma estrela
que continua a brilhar, haja ou não vida extra-regular…

Quem disse que não há Vida-para-além-do-ALÉM?
...daquele -ALÉM-onde-ME-continuarei, quando o brilho-ME-desmaiar?

Maria Elisa Ribeiro
Dez/014

Poema de Vergílio Ferreira(1916-1996)



Poema de Vergílio Ferreira (1916-1996), in O Citador

Só nos Pertence o Gesto que Fizemos

Só nos pertence o gesto que fizemos
não o fazê-lo como, iludida,
a divindade que em nós já trouxemos
supõe errada (e não) por convencida.


Porque o traçado nosso em breve cessa,
para que outro o recomece e não progrida;
que um gesto em ser gesto real se meça,
não está em nós fazê-lo, mas na Vida.

Assim o nada a sagra quando finda
porque o que é, só é o não ainda.

Vergílio Ferreira, in 'Conta-Corrente 1'

A obra de Aquilino Ribeiro (1885-1963) vista pelo mundo interior dos seus estudiosos...



Sobre Aquilino Ribeiro (1885-1963), in www.philoethical.blogspor.pt:

...

"Ecologia e Metafísica da Paisagem


Na sua obra, como em Torga ou Ferreira de Castro, o pensamento filosófico desenha-se na escrita literária como o veio atravessa ou impregna o filão mineral, numa linha de pensamento que remonta ao primeiro renascimento hispano-árabe e se desenvolveu em contacto com a diversidade natural que a época da expansão marítima proporcionou.
Incorpora progressivamente uma dimensão científica plural
a Ecologia, enquanto ciência da relação dos seres com o meio biótico e abiótico
a Geografia e a História quando estudam a humanização dos grandes quadros naturais a Biologia que revela a importância da diversidade dos seres vivos
a Geologia que revela as condições paleo-ambientais geradoras dos ciclos de extinção e expansão da biodiversidade
a Matemática que fornece modelos de gestão do ambiente
a Física e a Química quando analisam a qualidade dos elementos naturais do ambiente e os factores de poluição ou investigam os fenómenos de mudança climática ...
ao mesmo tempo que remete para a necessidade de avaliar o nosso modelo de crescimento nos planos da ética e da moral
Metafísica da paisagem, que é do domínio da “espiritualidade”, da “alma” das coisas, dos sentimento estéticos, da “beleza” e do “belo” ou do “sublime” , do “épico e do” trágico”, do “maravilhoso” e do “misterioso”, da Literatura e da Arte, do imaginário individual e colectivo
Esta concepção científica ao conduzir a uma Filosofia nascida da observação e da leitura da paisagem e da síntese da Terra e do Homem que a habita e transforma (que designamos como «paisagem cultural»), mas ao mesmo tempo a ameaça degradar ou destruir, fundamenta a necessidade de uma ética ambiental.

Bom Domingo, amigos de Lusibero! Have a nice Sunday!


sábado, 30 de maio de 2015

Boa noite, bons amigos visitantes de Lusibero!


Le monde.fr

Proche-OrientL'an I de la Crimée

INTERNATIONAL
PROCHE-ORIENT
Bahreïn
Irak
Iran
Israël
Israël/Palestine
Jordanie
Koweït
Liban
Ligue Arabe
Oman
Qatar
Syrie



De la rébellion houthiste aux tensions régionales : comprendre le conflit au Yémen

LE MONDE | 29.05.2015 à 15h55 • Mis à jour le 29.05.2015 à 16h03 | Par Donald Walther, Véronique Malécot, Flavie Holzinger et Hélène Sallon


Durée : 04:56 | Images : Le Monde

Voir aussi

Une collision aérienne évitée de peu à Barcelone


A Ramadi, tombée aux mains de l’Etat islamique, des…


Al-Qaida, Etat islamique : comprendre la "planète djihad"


Une journaliste libanaise coupe la chique à un cheikh

Ailleurs sur le web

FLUXMARKLogiciel professionnel gratuit Bitrix24 2014 Licence gratuite Suite…

Recommandés par Outbrain

Consultez la chaîne Vidéos


ECLAIRAGE



Le conflit au Yémen oppose depuis plusieurs mois les rebelles houthistes aux partisans du président en fuite, Abd Rabo Mansour Hadi. Dans ce contexte, les bombardements aériens conduits par l’Arabie saoudite et ses alliés, les enjeux religieux entre chiisme et sunnisme et la présence importante d’Al-Qaida enveniment chaque jour davantage une situation particulièrement complexe. Voici quelques clés pour mieux comprendre le conflit yéménite.

LE MONDE

Poema.



POEMA




BREVES

Mar atlântico
janela aberta para horizontes perfumados,
distantes, desconhecidos.
Lembrança marinha, que ressuscita séculos passados
de fortes sargaços nas velas enredados
e sonhos de antevéspera em empedradas partidas.


Não mais vidas perdidas
nos cais das despedidas…

Léguas de lágrimas na espuma das ondas repartidas
____________________________caem nas folhas de um laranjal
____________________________do espaço casa-matriz-nacional.

Gotas húmidas de pérolas- poemas!
Cristais de lexemas de corais-poemas!
Sílabas de versos feridos eternos
a embalar a lua que se estende
brilhante, por sobre-o-mar-Adiante…

Maria Elisa Rodrigues Ribeiro
AGOSTO/014







( blog: http://lusibero.blogspot.pt




facebook:https://www.facebook.com /mariaelisa.ribeiro.75?fref.nf)

Poema de Álvaro de Campos ( Fernando Pessoa), in Pesquisa Net



Poema de Álvaro de Campos(Fernando Pessoa), in Net

Poema em linha recta

Fernando Pessoa
(Álvaro de Campos)


Nunca conheci quem tivesse levado porrada.
Todos os meus conhecidos têm sido campeões em tudo.

E eu, tantas vezes reles, tantas vezes porco, tantas vezes vil,
Eu tantas vezes irrespondivelmente parasita,
Indesculpavelmente sujo,
Eu, que tantas vezes não tenho tido paciência para tomar banho,
Eu, que tantas vezes tenho sido ridículo, absurdo,
Que tenho enrolado os pés publicamente nos tapetes das etiquetas,
Que tenho sido grotesco, mesquinho, submisso e arrogante,
Que tenho sofrido enxovalhos e calado,
Que quando não tenho calado, tenho sido mais ridículo ainda;
Eu, que tenho sido cômico às criadas de hotel,
Eu, que tenho sentido o piscar de olhos dos moços de fretes,
Eu, que tenho feito vergonhas financeiras, pedido emprestado sem pagar,
Eu, que, quando a hora do soco surgiu, me tenho agachado
Para fora da possibilidade do soco;
Eu, que tenho sofrido a angústia das pequenas coisas ridículas,
Eu verifico que não tenho par nisto tudo neste mundo.

Toda a gente que eu conheço e que fala comigo
Nunca teve um ato ridículo, nunca sofreu enxovalho,
Nunca foi senão príncipe - todos eles príncipes - na vida...

Quem me dera ouvir de alguém a voz humana
Que confessasse não um pecado, mas uma infâmia;
Que contasse, não uma violência, mas uma cobardia!
Não, são todos o Ideal, se os oiço e me falam.
Quem há neste largo mundo que me confesse que uma vez foi vil?
Ó príncipes, meus irmãos,

Arre, estou farto de semideuses!
Onde é que há gente no mundo?

Então sou só eu que é vil e errôneo nesta terra?

Poderão as mulheres não os terem amado,
Podem ter sido traídos - mas ridículos nunca!
E eu, que tenho sido ridículo sem ter sido traído,
Como posso eu falar com os meus superiores sem titubear?
Eu, que venho sido vil, literalmente vil,
Vil no sentido mesquinho e infame da vileza."

Os versos acima, escritos com o heterónimo de Álvaro de Campos, foram extraídos do livro "Fernando Pessoa - Obra Poética", Cia. José Aguilar Editora - Rio de Janeiro, 1972, pág. 418.

De Guerra Junqueiro, poeta e pensador português (1850-1923), in Net



De Guerra Junqueiro (1850-1923), in Net

"Um Povo Resignado e Dois Partidos sem Ideias
Um povo imbecilizado e resignado, humilde e macambúzio, fatalista e sonâmbulo, burro de carga, besta de nora, aguentando pauladas, sacos de vergonhas, feixes de misérias, sem uma rebelião, um mostrar de dentes, a energia dum coice, pois que nem já com as orelhas é capaz de sacudir as moscas; um povo em catalepsia ambulante, não se lembrando nem donde vem, nem onde está, nem para onde vai; um povo, enfim, que eu adoro, porque sofre e é bom, e guarda ainda na noite da sua inconsciência como que um lampejo misterioso da alma nacional, reflexo de astro em silêncio escuro de lagoa morta. [.]


Uma burguesia, cívica e politicamente corrupta até à medula, não descriminando já o bem do mal, sem palavras, sem vergonha, sem carácter, havendo homens que, honrados na vida íntima, descambam na vida pública em pantomineiros e sevandijas, capazes de toda a veniaga e toda a infâmia, da mentira a falsificação, da violência ao roubo, donde provem que na política portuguesa sucedam, entre a indiferença geral, escândalos monstruosos, absolutamente inverosímeis no Limoeiro. Um poder legislativo, esfregão de cozinha do executivo; este criado de quarto do moderador; e este, finalmente, tornado absoluto pela abdicação unânime do País.

A justiça ao arbítrio da Política, torcendo-lhe a vara ao ponto de fazer dela saca-rolhas.

Dois partidos sem ideias, sem planos, sem convicções, incapazes, vivendo ambos do mesmo utilitarismo céptico e pervertido, análogos nas palavras, idênticos nos actos, iguais um ao outro como duas metades do mesmo zero, e não se malgando e fundindo, apesar disso, pela razão que alguém deu no parlamento, de não caberem todos duma vez na mesma sala de jantar. "...

Guerra Junqueiro, in 'Pátria (1896)'

Obra de Mestre Guilherme D'Almeida...


foto de Guilherme D'Almeida.
18 h ·



Quadro cubista de Mestre Fraguial, Guilherme D'Almeida , baseado no meu poema "NOITE DESCALÇA"!


Guilherme D'AlmeidaMaria Elisa Ribeiro


THE NIGHT COMETH
(Based on a poem "NOITE DESCALÇA", from
Maria Elisa Ribeiro)
70x50 cm (2015)
Acrylic on canvas
Geometric abstraction
Painted by FRAGUIAL-

www.fraguial.webnode.com

http://sitiodoartistacom/fraguial

NOITE DESCALÇA
. a noite desce a fechar , lentas, as pálpebras ensonadas


. o crepúsculo chega tão rápido que não tem tempo para
pensar, seja na luz, seja nas trevas, do dia a esmorecer


. como é habitual, a noite chega a dançar descalça…


. bate palmas com as mãos feitas de estrelas
e vai alojar-se debaixo das árvores e das flores do quintal


.passou o dia nas asas dos pássaros
a abrir rotas de nuvens.


.passou nos lagos do mar e
espalhou sons de flautas nas colinas verdes
suspensas da geografia do sol


.tão numerosas como as minhas palavras,
viajaram nela as andorinhas com cheiro a suco de rosas,
latejando aromas de pólen criador


.o dia passa…a noite vem…

eu-estou-comigo-
-sem-saber-com-Quem…


Maria Elisa Ribeiro
NOV/014




Blog http:// lusibero.blogspot.pt




https://www.facebook.com /mariaelisa.ribeiro.75?fref=nf

Perante o mistério do Mundo...Bom dia, meus amigos de lusibero!


Cat Stevens: Morning has broken! Good Morning, friends!

sexta-feira, 29 de maio de 2015

BENFICA VENCEU A TAÇA da LIGA!


Boa noite , meus amigos de Lusibero! Tenham um feliz fim de semana!


CURDISTAN IN THE PORTUGUESE TV! HONOUR TO YOU, CURDI PEOPLE!

FROM CURDISTAN.

ABOUT CURDISTAN...

Lusibero no Facebook!

https://www.facebook.com/mariaelisa.ribeiro.75

Sobre o meu livro, apresentado em Dezembro!


partilhou a sua foto.
3 h ·



O meu livro , apresentado nesta data( 13 de Dezembro de 2014), continua a ser-me pedido por amigos leitores. Os pedidos devem ser dirigidos à Pastelaria Studios Editora, com página no Facebook, onde estão os números de telefone de contacto, bem como os emails da Editora.
A todos os amigos leitores, o meu abraço de gratidão pelo apreço em que a obra está a merecer!

(Este cartaz de Apresentação foi elaborado pelo "Criativo" da Escola Profissional Vasconcellos Lebre, sob a Direcção do Dr. Nuno Canilho)

Boa tarde ,meus amigos!


CURDISTÃO!



Adorei ver esta Reportagem da Sic sobre o Curdistão. Conhecia pouco, quer do País, quer da luta que trava ,contra o EI. O Mundo deve apoiar o heroísmo deste POVO!


Curdistão - a luta contra o "Estado Islâmico"
O "Estado Islâmico" já controla um terço do Iraque e metade da Síria. Contudo, no norte do Iraque, no Curdistão, há um exército que tem conseguido travar a ofensiva.
SICNOTICIAS.SAPO.PT

quinta-feira, 28 de maio de 2015

Boa noite, amigos de lusibero!(foto google)


From BBC News


Loretta Lynch: The woman who took on Fifa

4 hours ago
From the sectionEurope
US Attorney General Loretta Lynch vowed to "root out misconduct" in world football

Fifa in crisis
Why so long for Swiss Fifa probe?
Chuck Blazer: Fifa 'supergrass'
Fifa scandal 'a disaster' for sponsors
Fifa corruption claims: Key questions answered

As the dust began to settle on Wednesday's blockbuster indictments against nine Fifa officials and five corporate executives, one person emerged as the face of a long and complicated criminal investigation.

And when the time came to announce the charges, Loretta Lynch did not mince her words. The United States attorney general said officials at football's world governing body had engaged in "rampant, systemic, and deep-rooted" corruption.

After just a month in the job, Ms Lynch had landed an enormous punch. Suddenly her face was on TV screens and newspaper pages around the world. The Department of Justice would, she vowed, "root out misconduct" and "bring wrongdoers to justice".

It was an extraordinary statement of intent from a woman whose nomination as attorney general had been frustrated for nearly six months as Republican senators blocked her appointment. And it was the payoff for an investigation she had spearheaded for years.
Dreams of Harvard

Born in 1959 in North Carolina, with the odds stacked against her, Ms Lynch harboured a dream of graduating from Harvard. "As a child she was very inquisitive," her father Lorenzo told the BBC earlier this month. "She asked questions of everybody and about everything."

Her dream became a reality in 1981 when she earned a first class degree in English literature, before switching to law. She joined New York law firm Cahill Gordon and Reindel in the mid-1980s and was appointed as a prosecutor for the city's Eastern District in 1990. Nine years years later, she was US attorney for the district.

It was in Ms Lynch's first year as district attorney that she caught her first really high-profile case. Abner Louima, a Haitian, was beaten and sexually assaulted by police officers. Amid a storm of public outrage, she prosecuted the officers involved, one of whom was sentenced to 30 years in prison. On one day, she had to be escorted out of the courtroom by US marshals for her own safety.

Ms Lynch left the US Attorney's office in 2001 to become a partner at Hogan and Hartson law firm, where she remained until 2010 when President Barack Obama nominated her to return to her previous job as US attorney for New York's Eastern District.

Then in November 2014, Mr Obama nominated her for US attorney general. "If there's an American dream story, Loretta Lynch is it," said Democrat senator Chuck Schumer at the time.
Taking on Fifa

In was in her role as district attorney that her involvement in the Fifa investigation began. Over the course of five years in Brooklyn - during which she weathered criticism for striking a deal with HSBC that spared the bank from criminal charges over money laundering - a case against the football officials was pieced together.

"We always knew it was going to be a very large case," Ms Lynch told the New York Times.

Veins in the network of Fifa corruption alleged by Ms Lynch ran through meeting rooms in the Eastern District and through banking systems across the country, the Department of Justice said. Working with the Federal Bureau of Investigation (FBI) and Internal Revenue Service (IRS), Ms Lynch used those connections to the US to bring Wednesday's long-awaited indictments.

After years of investigating, she stood up at a press conference in New York on Wednesday and boldly accused Fifa officials of "abusing their positions of trust to acquire millions of dollars in bribes and kickbacks". It was an extraordinary blow against an organisation that is alleged to have got away with bribery and corruption for more than two decades.

"The pantheon of world soccer has a new hero," said Politico's Tunku Varadarajan. "To the names of Pele, Maradona, Cruyff and Messi, add another: Loretta Lynch. The US attorney general, confirmed by the Senate just three weeks ago by the most un-soccer-like score of 56-43, is destined to go down as the most consequential woman in the history of the game."

Football fans around the world "should salute her", said BBC sports correspondent Matt Slater.

Share this story About sharing

Sur le Genocide , au RUANDA. (Dans "Le Monde. fr)



ENQUÊTE
Rwanda : comment le génocide est enseigné à l’école

Par Pierre Lepidi (envoyé spécial à Kigali, Rwanda)

Le Monde.fr Le 28.05.2015 à 15h35 • Mis à jour le 28.05.2015 à 18h55


image: http://s1.lemde.fr/image/2015/05/28/768x0/4642788_6_8113_deux-jeunes-rwandais-lors-des-commemorations_f0f3eab1c8e23f4e691f6f60fc9ca277.jpg

Sensible et délicate, la leçon ravive des douleurs profondes que le temps ne permet pas toujours d’apaiser. Elle touche au plus intime, anime parfois des rancœurs. « Je me souviens bien des cours que j’ai eus sur le génocide, raconte Alex, un étudiant de Kigali âgé de 23 ans, dont les parents et une partie des frères ont été tués. C’était un moment difficile, important. Il y avait le silence dans la classe. Ensuite, nous avons pu poser toutes les questions que nous voulions au professeur. »

Quand un enseignant rwandais enseigne les mécanismes du génocide, qui a fait 800 000 morts essentiellement Tutsis entre avril et juillet 1994, il doit expliquer comment la folie meurtrière alimentée par la haine ethnique a conduit des voisins à tuer leurs voisins, des amis à massacrer leurs amis. Dans le cas de mariages mixtes entre Hutus et Tutsis, la cruauté a aussi forcé des conjoints à se « découper » entre eux à la machette.

Vingt et un ans après cet enfer, il y a quasiment dans chaque salle de classe des descendants de rescapés assis à côté d’autres de tueurs. Au nom de l’unité et de la réconciliation qui est exhortée par le gouvernement, ils vivent ensemble. Dans ce pays grand comme l’Auvergne et peuplé d’environ 12 millions d’habitants, toutes les familles – surtout en zones rurales – se connaissent et se croisent chaque jour.
« Une famille qui ne parle pas, ment »

« Les élèves rwandais souhaitent comprendre les raisons qui ont conduit à ce qui s’est passé, assure Jean Damascène Bizimana, directeur de la Commission nationale de lutte contre le génocide. Ils cherchent des explications. Ils veulent savoir comment cela a été planifié, comprendre le rôle des différents acteurs : colonisateur, politique… Ils ont soif d’apprendre l’histoire du Rwanda. »

L’école n’est évidemment pas le premier contact que les jeunes ont avec le sujet. Les premiers récits, les premiers détails, viennent toujours du cercle familial. « Un proverbe rwandais dit : « Une famille qui ne parle pas, ment », indique Assumpta Mugiraneza, historienne et sociologue. Le génocide est constamment présent au milieu de nous et hante chaque famille. Il est présent dans tous les interstices de la société. »

Chaque année, entre le 7 avril et le 4 juillet, le Rwanda organise des commémorations. A la télévision ou sur des panneaux en centre-ville de Kigali, la capitale, on peut voir une flamme grise stylisée avec ce mot : « Kwibuka » (souviens-toi, en kinyarwanda, la langue nationale). Mais comment l’aborder en classe ? Comment expliquer à des enfants pourquoi leur oncle ou leur père a violé des dizaines de femmes ? Comment justifier l’injustifiable, comme l’histoire de cette voisine qui a tué ses propres enfants en les jetant contre un mur ?
« Il n’y a pas d’ethnie au Rwanda ! »

Le génocide est entré dans les programmes scolaires en septembre 1996, soit deux ans après la fin des massacres. « Il est expliqué à des enfants âgés de 11-12 ans dans le cadre des Social Studies [études sociales], raconte Jeanne D’arc Baranyizigiye, chargée de l’élaboration des programmes d’histoire au sein du ministère de l’éducation. Ce qui est expliqué aux élèves, c’est qu’il n’y a pas d’ethnie au Rwanda ! Les colons belges ont instauré ces différences, ces ethnies pour nous diviser et pouvoir mieux régner. Ici, nous partageons tous la même langue, la même culture et le même territoire. »

L’enseignement étant chronologique, le chapitre sur le génocide vient après celui sur l’indépendance, obtenue au Rwanda en 1962. Les manuels pédagogiques fixent plusieurs objectifs à l’enseignant. Dans la partie concernant le génocide, ils sont au nombre de six :
Au terme du chapitre, l’élève doit être capable de :
1) Expliquer la signification des termes « génocide » et « massacres à grande échelle ».
2) Expliquer les causes du génocide rwandais : mauvaise gouvernance, mauvaise politique, impact de la colonisation.
3) Expliquer les conséquences du génocide ; beaucoup de pertes humaines, de dégâts économiques, nombre important de veuves et d’orphelins…
4) Expliquer comment le génocide a été résolu : la fin des hostilités obtenue grâce au FPR [le Front patriotique rwandais, le parti présidentiel de Paul Kagamé]
5) Décrire le processus de réconciliation : il est fondé sur la justice, a pour but l’unité nationale et la réconciliation. C’est un processus qui est fondé sur du long terme.
6) Pouvoir identifier d’autres génocides (juifs, arméniens…) et pouvoir les comparer avec celui du Rwanda.

« Les professeurs ne suivent pas de formation spécifique avant d’aborder le cours, indique Jeanne D’arc Baranyizigiye. Chacun est capable de l’expliquer car cela fait partie des compétences générales que tous doivent avoir. »
Le rôle de la Radio des mille collines

Dans le cursus de l’élève, c’est ensuite en cours d’histoire que le sujet est abordé, lorsque les étudiants atteignent 14 ou 15 ans. L’influence du colonisateur belge sur la société rwandaise est alors approfondie (réformes administratives, judiciaires, religieuses…) Il est aussi demandé au professeur « d’organiser des discussions en groupe sur sa politique de division de la société. »

Le troisième chapitre du manuel pédagogique regroupe la guerre de 1990-1994 et le génocide. L’un des objectifs est notamment « d’expliquer comment la presse de toutes tendances s’est développée rapidement pendant les années qui ont précédé le génocide », en citant l’exemple de la Radio des mille collines qui diffusait des messages de haine à l’encontre des Tutsis et qui a joué un rôle important lors des massacres. Le rôle du multipartisme est aussi souligné dans ce pays où l’opposition est aujourd’hui muselée, et où les dissidents du régime vivent sous la menace (l’ancien chef des renseignements extérieurs Patrick Karegeya a été retrouvé assassiné en 2014 à Johannesburg).

L’objectif du professeur est ensuite d’expliquer « les mauvaises actions du gouvernement de Juvénal Habyarimana », président en 1994 et dont l’explosion de l’avion – suite à un missile tiré du sol alors qu’il était en phase d’approche sur l’aéroport de Kigali – a donné le coup d’envoi des tueries, le 6 avril.
« Cela ne doit jamais se reproduire »

Le contenu du cours porte enfin sur la définition du terme génocide, la phase d’extermination des Tutsis et des opposants hutus à l’idéologie génocidaire, le rôle des acteurs (Etat, communauté internationale, population locale…) et toutes les conséquences. Il est demandé aux enseignants d’appuyer leurs explications en montrant un film, en organisant des débats et de conclure en disant « que cela ne doit jamais se reproduire ».

Pour gommer les divisions, le gouvernement a pris, dès la fin des conflits, des mesures strictes. Les insultes à caractère ethnique sont, par exemple, interdites et passibles de peines de prison. Les ethnies qui étaient mentionnées sur les cartes d’identité – et qui ont notamment permis aux miliciens Interahamwe d’identifier les Tutsis aux innombrables barrages érigés sur les routes – ont été supprimées.

Si une partie du programme scolaire est consacrée aux efforts du gouvernement pour favoriser l’unité nationale, une autre aborde les succès qui en ont découlé dans les domaines politiques, économiques (7 % de croissance en 2014) ou socioculturels. Rien en revanche sur les crimes commis par les soldats du FPR – le parti de Paul Kagamé qui dirige le pays d’une main ferme depuis la fin du génocide – comme à Kibeho, au centre du pays en 1995.
Des visions obsédantes

« Beaucoup de Hutus tentent aujourd’hui de fuir leur passé, analyse Assumpta Mugiraneza. Il y a à l’école une façon de présenter l’histoire qui reste factuelle. Si vous demandez à des adolescents : « Qu’est-ce que le génocide ? ». Ils vous parleront de crânes et de machettes, mais il leur sera difficile de mener une vraie réflexion. Il serait plus intéressant de déconstruire intellectuellement le mécanisme du génocide, en s’attardant principalement sur son aspect idéologique et non biologique. »

Sur le plan psychologique, les plaies ont du mal à cicatriser et pas seulement chez les rescapés. Des centaines d’adolescents souffrent aujourd’hui de symptômes post-traumatiques, comparables à ceux de leurs proches qui ont eux vécu l’horreur. Leurs troubles se manifestent par des angoisses ou des visions obsédantes de scènes qui se sont pourtant déroulées avant leur naissance. Ce phénomène, déjà observé chez des descendants de juifs rescapés de la Shoah, ont tendance à se multiplier lors des périodes de commémoration.

« Il est difficile de dire si, au fil du temps, les enfants se sentent plus ou moins concernés par le génocide, explique Jean Damascène Bizimana. Ce qui est certain, c’est que le rôle de l’école est de continuer à expliquer ce qui s’est passé en 1994 afin que cette idéologie ne revienne jamais. Comme dans tous les génocides, il y a des personnes qui nient l’existence de celui du Rwanda. Le rôle de l’école est donc aussi de lutter contre le révisionnisme et le négationnisme qui ont tendance à se développer sur Internet et les réseaux sociaux. »


En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/afrique/article/2015/05/28/rwanda-comment-le-genocide-est-enseigne-a-l-ecole_4642789_3212.html#e9bKs562zdTgZJOr.99

Dans "Le Monde.fr"


Pour Joseph Blatter, « la corruption dans le foot est le fait d'une minorité »

Le Monde.fr avec AFP | 28.05.2015 à 18h08
Abonnez-vous
à partir de 1 € Réagir Classer

Partager facebook twitter google + linkedin pinterest



image: http://s2.lemde.fr/image/2015/05/28/534x267/4642930_3_3db9_joseph-blatter-au-discours-d-ouverture-du_de24cdc00d03794ba93e2055b7ffe68f.jpg

Au lendemain de l'arrestation à Zurich de sept responsables de la Fédération internationale de football (FIFA), le président de l'institution, Joseph Blatter (dit Sepp) a mis en garde, jeudi 28 mai, contre « d'autres mauvaises nouvelles à venir ».
« Ce sont des moments difficiles et sans précédent pour la FIFA. Les événements d'hier ont jeté une ombre sur le football et sur le congrès de cette semaine. »

Le président de l'institution, qui, à 79 ans, brigue un cinquième mandat de président à la tête de la plus haute instance du football mondial, a refusé d'endosser la responsabilité de cette affaire lors du discours d'ouverture du 65e congrès de la FIFA. « Beaucoup de gens me tiennent pour responsable. Je ne peux pas surveiller tout le monde tout le temps », s'est défendu Joseph Blatter.


En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/football/article/2015/05/28/pour-joseph-blatter-la-corruption-dans-le-foot-est-le-fait-d-une-minorite_4642902_1616938.html#XI1YC7l8Hw5U6mwq.99

Dana "Le Monde.fr"


Les pertes militaires russes en temps de paix sont désormais des secrets d’Etat

Le Monde.fr avec AFP | 28.05.2015 à 14h26 • Mis à jour le 28.05.2015 à 15h24
Abonnez-vous
à partir de 1 € Réagir Classer

Partager facebook twitter google + linkedin pinterest





Le président russe, Vladimir Poutine, a signé jeudi 28 mai un décret classant comme secret d’Etat les pertes de l’armée en temps de paix. Ce décret, publié sur le site du gouvernement, ajoute à la liste des secrets d’Etat de la Russie les« informations relatives à la perte de personnel (…) en temps de paix lors d’opérations spéciales ». Les pertes militaires en temps de guerre étaient déjà gardées secrètes.

Si les informations sont transmises à un pays étranger, la divulgation de secrets d’Etat est punie en Russie d’une peine pouvant aller jusqu’à quatre ans de prison.
La raison : le Donbass

« La raison pour laquelle les pertes ne doivent pas être rendues publiques est le Donbass », cette région de l’est de l’Ukraine où les séparatistes prorusses combattent depuis plus d’un an les forces de Kiev, estime l’expert militaire proche de l’opposition Pavel Felgenhauer.

Kiev et les Occidentaux accusent la Russie d’aider militairement les séparatistes de l’est de l’Ukraine et d’y avoir déployé ses troupes régulières, ce que Moscou dément catégoriquement, ne reconnaissant que la présence de « volontaires »partis prendre les armes de leur propre initiative.
« Emprisonner ou effrayer »

Selon M. Felgenhauer, ce décret vise à « emprisonner ou à effrayer » ceux qui souhaiteraient révéler des informations sur les pertes présumées subies par l’armée russe en Ukraine. « Je n’ai jamais vu une définition juridique du concept d’opération spéciale, explique-t-il. Cela signifie que tout peut être désigné en tant que tel. »

La presse russe et internationale, ainsi que les militants opposés au Kremlin, a fait état à plusieurs reprises d’enterrements secrets en Russie de militaires russes qui seraient morts en Ukraine. Plusieurs interviews d’anciens soldats et de leurs familles ont été publiées dans les médias, et des informations sur leur présence en Ukraine ont été collectées par le biais des réseaux sociaux.

Lire aussi : Escalade verbale entre Kiev et Mos
cou

Poema: (obra regª)








NOITE DESCALÇA

. a noite desce a fechar , lentas, as pálpebras ensonadas
. o crepúsculo chega tão rápido que não tem tempo para
pensar, seja na luz, seja nas trevas, do dia a esmorecer


. como é habitual, a noite chega a dançar descalça…
. bate palmas com as mãos feitas de estrelas
e vai alojar-se debaixo das árvores e das flores do quintal

.passou o dia nas asas dos pássaros
a abrir rotas de nuvens.
.passou nos lagos do mar e
espalhou sons de flautas nas colinas verdes
suspensas da geografia do sol

.tão numerosas como as minhas palavras,
viajaram nela as andorinhas com cheiro a suco de rosas,
latejando aromas de pólen criador

.o dia passa…a noite vem…eu-estou-comigo-
-sem-saber-com-Quem…

Maria Elisa Rodrigues Ribeiro
NOV/014

Bom dia, amigos de lusibero! (foto google)


Dos Estados Unidos...O INSÓLITO PERIGOSO!!!!






EUA enviaram amostras vivas de antraz para nove estados
Hoje às 08:22
O exército dos Estados Unidos enviou "inadvertidamente" amostras da bactéria viva do antraz a laboratórios de nove estados do país e a uma base militar norte-americana na Coreia do Sul.


GEORGE FREY/EPA
Amostras de antraz foram enviadas desde um laboratório do exército em Utah







IMPRIMIR(3)

ENVIAR(0)
5708

TAGS
PENTÁGONO
EUA
BACTÉRIA
MUNDO


Segundo o Pentágono, as amostras, que, em princípio, deveriam conter antraz morto ou inativo, foram enviadas entre março de 2014 e o mesmo mês deste ano a laboratórios em Maryland, Texas, Wisconsin, Delaware, Nova Jersey, Tennessee, Nova Iorque, Califórnia e Virgínia, além da Coreia do Sul.
LEIA TAMBÉM

Mais de 20 pessoas expostas a antraz na Coreia do Sul


O Pentágono assegurou que ninguém foi infetado e que não existe risco para o público, mas informou que mantém quatro pessoas sob medidas preventivas por terem estado expostas ao antraz.

As quatro pessoas estiveram expostas ao antraz que, no caso de ser inalado, pode causar a morte, quando realizaram "procedimentos que permitiram a passagem do agente para o ar".

As amostras de antraz foram enviadas desde um laboratório do exército em Utah como parte de um programa para desenvolver um teste nas bases que permita identificar ameaças ante possíveis ataques biológicos.

O porta-voz do Pentágono, o coronel Steve Warren, explicou ter sido aberta uma investigação para determinar o que se passou e anunciou que o departamento de Defesa interrompeu o envio de antraz inativo até que sejam esclarecidas as causas do erro.

DE PORTUGAL...os impostos!


IRS Se acumula recibos verdes com outro trabalho, leia isto
Os trabalhadores que acumulam recibos verdes com atividade por conta de outrem têm desde 2014 de preencher o Anexo SS quando entregam a declaração de IRS, mas a Segurança Social ainda não aplicou multas a quem não o apresentou.


ECONOMIA
Lusa

13:35 - 27 de Maio de 2015 | Por Lusa


Share on printShare on email



Em 2013 esta obrigação não existia, tendo a Segurança Social publicado no seu portal - no último dia de maio desse ano - um esclarecimento que expressamente excluía desta obrigação os trabalhadores independentes que acumulem atividade independente com atividade profissional por conta de outrem e que, por esta última atividade, lhes tenha sido atribuída isenção, por estarem abrangidos por outro regime de proteção social obrigatório. A mesma informação esclarecia que também estavam excluídos os trabalhadores independentes que nunca tenha atingido rendimento superior a 2.515,32 euros (6 vezes o valor do Indexante de Apoios Sociais).
PUB



A obrigação de entrega do anexo SS para estes trabalhadores surgiu na Lei do Orçamento do Estado para 2014, mas só foi objeto de um esclarecimento da Segurança Social este ano, no dia 7 de maio, uma semana depois de ter começado o prazo de entrega do IRS dos trabalhadores independentes.

"Têm de preencher o Anexo SS, mas não precisam de preencher o quadro 6, os Trabalhadores Independentes (...) que nunca tenham atingido rendimento superior a 6 vezes o valor do IAS (...) e que se encontrem isentos da obrigação de contribuir, quando acumulem atividade independente com atividade profissional por conta de outrem, e que por esta última atividade lhes foi atribuída isenção, por estarem abrangidos por outro regime de proteção social obrigatório", lê-se na nota publicada no portal ad Segurança Social.

Numa resposta à Lusa, o Instituto de Segurança Social (ISS) esclarece que não houve qualquer alteração relativa ao Anexo SS em 2015 face ao ano de 2014 e que, nesse sentido, também não houve qualquer alteração dos grupos de contribuintes que estão excluídos desta obrigação e que tenham deixado de estar dispensados do preenchimento do anexo.

"Dado não ter havido qualquer alteração aos grupos contribuintes sujeitos à obrigação declarativa, não se verificou por necessário proceder a qualquer notificação", explica o ISS.

A única diferença que houve este ano, segundo a Segurança Social, é que o ISS "optou por incluir também no seu portal a informação que é prestada na rede de atendimento da Segurança Social, informação essa que também foi prestada na rede de atendimento no ano de 2014".

E defende que a informação constante no Anexo SS é necessária para que a Segurança Social possa aferir com o rigor, para além do apuramento do rendimento relevante, as situações de isenção e exclusão do regime dos trabalhadores independentes.

"Assim, a informação agora solicitada no Anexo SS servirá para obviar que a mesma seja solicitada ao trabalhador independente posteriormente" acrescenta na resposta à Lusa.

A lei prevê coimas (contraordenação leve) até 250 euros pela não apresentação do Anexo SS, mas até agora a Segurança Social não aplicou qualquer multa, segundo a mesma fonte.

A segurança Social acrescenta que a informação constante no Anexo SS é necessária para que a Segurança Social possa "aferir com o rigor", para além do apuramento do rendimento relevante, as situações de isenção e exclusão do regime dos trabalhadores independentes.

Nem todos os trabalhadores independentes têm a obrigação de entregar o anexo SS, estando excluídos os advogados e os solicitadores, entre outros.



Partilhe esta notícia com os seus amigos