sábado, 30 de setembro de 2017

Barber - AGNUS DEI (arr. Adagio for Strings) - Rotterdam Symphony Chorus...

fado ' Meia Noite ao Luar '

Fado para um amor ausente - Luiz Marinho

Ondas do Mar - Fernando Rolim

Coro Alma de Coimbra - Ondas do mar

CORO ALMA DE COIMBRA - Ó GENTE DA MINHA TERRA - CORO ALMA DE COIMBRA



José Sócrates, le Portugais ensablé


Par François Musseau, envoyé spécial à Lisbonne — 18 mars 2010 à 00:00




Le Premier ministre portugais José Socrates, le 7 janvier 2010 à Paris AFP Remy de la Mauviniere





Rien ne va plus pour le Premier ministre socialiste, dont le nom est associé à des affaires de corruption sur fond de crise économique majeure.



José Sócrates, le Portugais ensablé


L’inimitié d’une bonne partie des médias, une crise politique qui tourne au blocage institutionnel, une situation sociale explosive, un fiasco économique obligeant à des mesures drastiques à court terme… Comme si cela n’était pas suffisant, le bouillant José Sócrates (mollement réélu aux législatives de septembre 2009) doit désormais affronter une fronde du Parlement qui pourrait le forcer à la démission ou amener sa famille socialiste à lui trouver un successeur à la tête du gouvernement. Aujourd’hui commencent à Lisbonne les travaux d’une commission d’enquête parlementaire qui, pour la première fois depuis la fin de la dictature de Salazar, implique directement un Premier ministre. Et va le contraindre à comparaître physiquement, au mieux par écrit. «Le Portugal est un bateau ivre dans lequel le capitaine est le plus suspect de tout l’équipage», a asséné un chroniqueur de la chaîne privée SIC.


D’après les économistes, de tous les pays européens au bord du «décrochage», le Portugal est certainement le maillon le plus faible. Plus encore que la Grèce, le petit pays ibérique souffre de maux structurels, d’exportations en berne, d’une dette extérieure record et d’un déficit public de 9,3%. Bruxelles attend de Lisbonne des mesures concrètes pour respecter le «plan d’austérité» auquel José Sócrates s’est engagé. Mais ces mesures, qui promettent d’être draconiennes, se font attendre… D’autant que José Sócrates est encore affaibli par ses problèmes politico-judiciaires.


«réformateur». Ce qui ressemble fort à un procès politique est lié à un supposé cas d’interventionnisme. Pendant deux mois, un groupe de députés tentera de faire la lumière sur le rôle qu’a joué José Sócrates dans la tentative du géant Portugal Telecom (PT, contrôlé par le gouvernement socialiste) de racheter la télévision TVI, hostile au pouvoir. Il s’agit en somme de savoir si le leader socialiste a manœuvré pour placer la chaîne sous son joug. En juin 2009, devant le Parlement, Sócrates avait solennellement assuré ne rien savoir de telles tractations. Si cette commission d’enquête, qui va auditionner des dizaines de témoins, fait la preuve que le Premier ministre a menti, les jours de celui qui promettait de «transformer le Portugal en profondeur» seront comptés.


«Alors qu’il a pu être une partie de la solution pour le pays, Sócrates est aujourd’hui une partie du problème», résume José Manuel Fernandes, ancien directeur du quotidien de référence Público, dont le départ tient à ses relations tendues avec le leader socialiste. Comme d’autres nombreux détracteurs, Fernandes reconnaît que le tonitruant Sócrates a été, au début de son premier mandat - de 2005 à 2007 -, un chef de gouvernement courageux, qui a ramené un gros déficit à 3% (aujourd’hui de nouveau autour de 10%), réformé le système des retraites (âge légal et temps de cotisation augmentés), accru les recettes fiscales, créé 150 000 emplois, fait le ménage au sein de la haute administration… «Un bon bilan de réformateur volontariste, qui a su contenir à sa gauche et rassurer à sa droite, dit le politologue Manuel Villaverde Cabral. Il a mis à la porte pas mal de gens dans les hautes sphères, qui sont aujourd’hui autant d’ennemis.» Mais, si José Sócrates est autant ébranlé, c’est aussi parce que son parcours est jalonné de zones d’ombres et d’agissements suspects.


Depuis ses premiers pas municipaux dans la région de Beira Baixa, à l’est du pays, il a été mêlé à une dizaine de scandales. Un diplôme d’ingénieur obtenu dans des conditions suspectes, des permis de construire douteux accordés au sein de la municipalité de Castelo Branco, l’affaire «Face occulte» (des écoutes téléphoniques le lient avec un homme d’affaire véreux ayant un quasi-monopole sur les friches industrielles)… Ou encore l’affaire «Freeport», une société britannique ayant installé un centre commercial à Alcochete, en banlieue de Lisbonne, sur un terrain protégé… grâce au feu vert de Sócrates, alors ministre de l’Environnement ! «En réalité, à chaque fois, il n’y a aucune preuve formelle, dit José Manuel Fernandes. Mais rien n’est vraiment clair avec lui.»


jeune loup. Energique et charismatique, doté d’une audace qui a électrisé une vie politique ankylosée, José Sócrates apparaît aussi comme un leader intransigeant, autoritaire et irascible, dont l’ambition dévorante en irrite plus d’un. «Son parcours, c’est celui d’un jeune loup sans idéologie, opportuniste, un pur produit d’appareil qui a escaladé les échelons la tête froide, le décrit Fernando Rosas, historien et député du Bloc de gauche. Il a toujours eu un côté borderline. Et puis ses accès d’autoritarisme lui valent une piteuse image dans des médias qui ne sont pas tendres avec lui.» Sócrates le leur rend bien : plusieurs journalistes de télé vedettes (Mário Crespo, Manuela Guedes…) ont dénoncé «la censure» exercée sur eux par le Premier ministre. Une commission d’éthique s’est mise en place en janvier pour éclaircir la question. «L’un des grands problèmes de Sócrates, c’est qu’il a perdu le soutien des élites, analyse José Manuel Fernandes, l’ancien patron de Público. On ne lui fait plus confiance, tout le monde a peur d’être trompé par ce personnage trouble et ambigu.»


Dans un sérail politique dominé par des doctores, ce socialiste sans titre prestigieux agace et rompt avec le statu quo. A la manière d’un Sarkozy portugais, Sócrates est un fonceur, un communicateur zélé qui a phagocyté son parti et personnalisé à l’extrême l’exercice du pouvoir. Autres similitudes : il ne craint pas de tailler dans le vif, supporte mal les critiques, perd facilement ses nerfs et cultive la perméabilité entre la sphère politique et celle des affaires - à l’instar de Jorge Coelho, un de ses proches, ancien ministre socialiste entré avec sa bénédiction dans le conseil d’administration du géant du BTP Mota-Engil.


A force de jouer avec le feu, José Sócrates se retrouve-t-il sur un siège éjectable, six mois seulement après sa difficile réélection (une courte majorité au Parlement) et alors que sa cote de popularité chute allègrement ? «A priori, tous les éléments l’accablent, explique Ricardo Costa, directeur adjoint de l’hebdo Expresso.Heureusement pour lui, les circonstances le protègent.» De l’avis général, le président de la République, Cavaco Silva, mentor du grand parti de la droite (PSD), n’a pas intérêt à convoquer des élections anticipées. Par souci de stabilité institutionnelle, et aussi parce qu’un scrutin aujourd’hui ne changerait sûrement pas beaucoup la donne. Jusqu’à janvier 2011, date de la présidentielle, Sócrates ne risque donc pas sa peau. Sauf si, bien sûr, la commission d’enquête parlementaire qui s’ouvre aujourd’hui exige sa démission.


sacrifices. Même s’il reste en place, tous lui pronostiquent toutefois un chemin de croix jusqu’à la fin 2010. Après avoir concédé des largesses sociales, Sócrates va devoir appliquer d’ici peu le plan d’austérité dicté par Bruxelles via des coupes claires dans les dépenses sociales (santé, indemnités chômage, subventions, accès au RMI…). «Depuis dix ans, le pouvoir exige que les Portugais fassent des sacrifices, explique Manuel Villaverde Cabral, le politologue. Je ne crois pas qu’ils supporteront plus longtemps.»


José Sócrates, pris entre l’enclume sociale et le marteau financier ? «Il est pieds et poings liés, renchérit José Manuel Fernandes. Le modèle industriel portugais, vieux de cinquante ans, est moribond, et rien ne le remplace. Le pays ne produit qu’entre 30 et 40% de ce qu’il consomme. La marge de manœuvre de Sócrates est très faible.»


Pourra-t-il rebondir ? Ricardo Costa, de l’Expresso, et d’autres observateurs en sont convaincus : «Ce type a plus de vies qu’un chat. Il est très dur, très résistant, il sait encaisser les coups. Une vraie bête politique qui sait sortir ses griffes lorsqu’il est le plus affaibli.»

François Musseau envoyé spécial à Lisbonne

Libération
2 min ·


Chaque mois, Libération fait le point sur les histoires qui ont fait l’actualité des femmes, de leur santé, leurs libertés et leurs droits. Vingt-cinquième épisode : septembre 2017.


Mastectomie, «name and shame», Saoudiennes au volant : septembre dans la vie des femmes
Chaque mois, «Libération» fait le point sur les histoires qui ont fait l’actualité des femmes, de leur santé, leurs libertés et leurs droits. Vingt-cinquième épisode :…
LIBERATION.FR

Le Figaro
2 h ·


Logique?


Au-delà de la Catalogne, ces mouvements autonomistes qui existent en Europe
LEFIGARO.FR


The Guardian
52 min ·


The killer is said to a white man in his 40s with short brown hair, dressed in dark clothing, possibly with acne scarring to his face. It also says he may be wearing a headlamp or carrying a torch.


‘Croydon cat killer’: forensic science lab to re-examine deaths
DNA to be used to try to track down perpetrator believed to be behind as many as 250 feline murders
THEGUARDIAN.COM

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Le Figaro
1 h ·


👍 À vous de taguer dans les commentaires quelqu'un à qui cela pourrait être utile!


Ikea acquiert une start-up pour... aider ses clients à monter leurs meubles
LEFIGARO.FR


Le Figaro
19 min ·


Pendant dix ans, un couple et leurs deux enfants ont vécu sur un îlot désert au large de la Bretagne, le faisant revivre. Mais la belle histoire se termine.


Cet îlot au large du Finistère est abandonné par ses locataires
IMMOBILIER.LEFIGARO.FR
Le Figaro esteve em direto.
13 min
Paris Legends Championship : en direct du Golf National avec Jean Francois Remésy, double vainqueur de l'Open de France.
-9:45
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OBRA REGª














VOZES-DO-ALÉM-MAR-NAS-RIMAS-DOS CANTARES DE AMOR

Ouvi-te cantar nos ventos,
por entre pinheiros altos
que se perderam nas águas
da triste chuva dos tempos…
Ouvi-te cantar nos ventos…


(____________________Ficas mais longe, pelas tardes
______________ para onde os crepúsculos correm,
____________a descobrir seculares de gotas de orvalho,
_______ nos sinos onde os lamentos morrem…)

Caiu-me das mãos, o livro que leio ao entardecer…
Como animal ferido,
deixou-me aos pés a capa
que o protegia,
para esconder o quanto eu sofria.

Pinheiros altos----altas velas-a-navegar----choro triste…
…povo meu
que viveu a acenar-lenços-brancos, de esperança-em-riste.

Ouvi-te cantar nos ventos,
a melopeia que entoa o rasgar das velas,
ao desconhecerem que o tempo ia andando “in media res”.

Ouvi as ondas do mar, recheadas de espuma
a vibrar
os ecos nostálgicos das vozes de Além-Mar,
semeados de rimas dos nossos Cantos de Amor.

Ouvi-vos chorar, pinheiros de Portugal!

Maria Elisa Ribeiro
Junho/016



6 comentários

BOM DIA, AMIGOS! Feliz fim de semana!


Foto de Maria Elisa Ribeiro.

sexta-feira, 29 de setembro de 2017

Do nosso Camilo...



De Camilo Castelo Branco, in NET:

O Amor Indómito
Há casos de alucinação, extasis incendiados de fantasia, em que o homem subjuga ao seu transporte as férreas considerações sociais, fazendo-as reflexivas de todo o brilho da sua alegria. É por isso que as grandes paixões estão em divórcio com o juízo prudencial. No mar da vida o fanal do amor é o que mais resplende. Cegam-se os olhos e entendimento ao que mais ansiosamente o fita. Com a mente fixa nesse clarão esperançoso, que tão frouxas résteas de luz nos dá em paga de tremendos trabalhos, transcuram-se vagas e baixios que nos assaltam o pobre baixel. O amor indómito, fremente e tempestuoso é um naufrágio que se ama, uma dor com que se brinca, e, enfim, um delírio honroso em qualquer criatura.


Camilo Castelo Branco, in 'Anátema (1850)'



Boa tarde, meus amigos!




O roubo é pago por 95% dos contribuintes..Os restantes 5%,recebem de todos e não pagam nada ! A direita rouba o povo !

Há 1 anoVê as tuas memóriaschevron-right




Jose Flath Costa
8 de Setembro de 2016 ·



JOSEPH SITIGLITZ
NOBEL LAUREATE IN ECONOMY

quinta-feira, 28 de setembro de 2017

Boa noite, meus amigos!



foto de Eduardo Lourenço, Filósofo e Filosofia
20 de Julho de 2015 ·



EDUARDO LOURENÇO E A HETERONOMIA PESSOANA

«(...) Com Caeiro fingimos que somos eternos, com Campos regressamos dos impossíveis sonhos imperiais para a aventura labiríntica do quotidiano moderno, com Reis encolhemos os ombros diante do Destino, compreendemos que o Fado não é uma canção triste mas a Tristeza feita verbo. (...)»

EduardoLourenço, in "Fernando, Rei da nossa Baviera"


Eduardo Lourenço, Filósofo e Filosofia por Isabel Rosete
20 de Julho de 2015 ·


EDUARDO LOURENÇO E A HETERONOMIA PESSOANA
«(...) Com Caeiro fingimos que somos eternos, com Campos regressamos dos impossíveis sonhos imperiais para a aventura ...Ver Mais

Eduardo Lourenço, Filósofo e Filosofia 
9 de Julho de 2015 ·



«A Europa real é uma colecção de identidades que já não têm a capacidade de se viver plenamente como nações, nem a força de querer ede imaginar a futura Europa como uma nova espécie de nação.»
Eduardo Lourenço


Eduardo Lourenço, Filósofo e Filosofia por Isabel Rosete
8 de Julho de 2015 ·


«A Europa real é uma colecção de identidades que já não têm a capacidade de se viver plenamente como nações, nem a força de querer e de imaginar a futura Europa como uma nova espécie de nação.»
Eduardo Lourenço

UM CONTO:LER FAZ BEM!



...e, porque ler faz bem, aqui fica um conto de António Torrado, pesquisado na Net:

Conto de A, Torrado, in pesquisa Net:

"A janela e a montanha – A. Torrado
Posted on 07
António Torrado
O coração das coisas
Porto, Edições Asa, 2004


A JANELA E A MONTANHA
A janela abria para a frente, para fora, para o ar lavado da montanha.

Quem dormisse naquele quarto, ao saltar da cama, de manhã, abria a janela de dois batentes como se estivesse a respirar fundo. Enchia os pulmões de ar e os olhos de claridade. Era o primeiro exercício de ginástica.

Podia ficar por aqui, de cotovelos sobre o parapeito, a apreciar a paisagem. Ou podia voltar para dentro, com um pequeno arrepio de prazer.

A janela, que abria para fora, até nem se importava que voltassem a fechá-la. Tinha cumprido a sua missão. Dera, de longe, um primeiro abraço à montanha. Não pedia mais.

Eram muito amigas a montanha e a janela. Não podiam passar uma sem a outra. A janela emoldurava a montanha, por sinal que o seu lado mais fotogénico. A montanha sentia-se protegida por aquela janela prazenteira, sorridente, aberta de par em par.

Mas aconteceu que a estalagem, a que pertencia a janela, fechou. De vez. Falta de clientes, cansaço do dono ou fosse do que fosse, fechou. Portas e janelas trancadas.

A montanha olhava para a janela e sentia saudades. Cá em baixo, no vale, ouviam-na suspirar e diziam:

— É o vento da montanha.

Mas não era. Até a paisagem entristecia.

Da janela e do seu sentir não podemos saber. Pois se estava fechada. Só aberta, toda aberta de alegria é que ela era uma verdadeira janela.

A montanha convocou os ventos para que eles abrissem a sua janela, sem a qual nem as manhãs de orvalho apeteciam nem as tardes rubras do pôr-do-sol nem as noites alucinadas pela Lua Cheia.

— Para quê, para quê, se não tenho a minha janela a ver-me? — murmurava a montanha, inconsolável.

Mas os vendavais da montanha por mais esforços que fizessem, por mais empurrões que dessem não conseguiam abrir a janela. Impossível. Ela só abria para fora.

Desistiram. Não desistiu a montanha, que chorou, noites e noites a fio, a perda da sua janela.

Depois da época das chuvas, voltou o bom tempo. Romperam os malmequeres, no jardim abandonado da estalagem. A montanha cobriu-se de veludo roxo, que era uma maciça penugem de pétalas sobre o chão de urze. Começou a cheirar a rosmaninho.

— Parece que vão reabrir a estalagem, com nova gerência — contava-se, no vale.

E assim aconteceu. Quando a janela abriu as suas duas portadas, a abarcar a montanha, fez-se um grande silêncio.

— Olá, montanha — disse a janela.

— Olá, janela — disse a montanha.

Como se ainda ontem se tivessem visto… Mas ficaram que tempos, que tempos, a olhar uma para a outra."

Bom dia, meus amigos!


Do nosso Manuel da Fonseca



Solidão

Que venham todos os pobres da Terra 
os ofendidos e humilhados 
os torturados 
os loucos: 
meu abraço é cada vez mais largo 
envolve-os a todos! 

Ó minha vontade, ó meu desejo 
— os pobres e os humilhados 
todos 
se quedaram de espanto!... 

(A luz do Sol beija e fecunda 
mas os místicos andaram pelos séculos 
construindo noites 
geladas solidões.) 

Manuel da Fonseca, in "Poemas Dispersos" 

quarta-feira, 27 de setembro de 2017

Barber - AGNUS DEI (arr. Adagio for Strings) - Rotterdam Symphony Chorus...

TRY TO REMEMBER The Brothers Four-Campfire 14

Sign of the Times - (Harry Styles 'Africanized' Orchestral Cover) Ft. Al...

Pedro Barroso - Longe

D'Italia...


Espresso Italia
2/9 às 13:39 ·


Perché Starbucks non entra in Italia?

Starbucks, a famosa casa de café que está em todo lugar, aqui, na Itália, não tem. Por quê?

1) Talvez pelo preço: um café na Itália custa em média 1 €, contra em média 2,50/3 €;


2) Talvez pelo gosto: no país que mais consome café valorizamos as diferenças entre diferentes qualidades;

3) Talvez pela nossa cabeça dura: você já escutou algum italiano dizer que pizza no exterior é boa? 😉

De Italia


Espresso Italia
16/9 às 15:02 ·


Le basi dell'italiano: i nomi.

Você já possui as bases do italiano?
Sicuro? ;)...Ver Mais


La base dell’italiano: I nomi
Esse é provavelmente o punto zero comum a muitos idiomas: os nomes e suas características. Querendo começar pelo género dos substantivos (podemos também chamar os nomes assim), a primeira co…
ESPRESSOITALIABLOG.WORDPRESS.COM

Do "The Guardian"


Portugal acabou com a mentira: há alternativa à austeridade, escreve o The Guardian
O jornal britânico diz que Portugal é a prova de que há alternativa à austeridade. Num artigo de opinião, que faz Portugal corar de elogios, conta-se como um país acabou…
JORNALECONOMICO.SAPO.PT

Sea salt around the world is contaminated by plastic, studies show
Exclusive: New studies find microplastics in salt from the US, Europe and China, adding to evidence that plastic pollution is pervasive in the environment
THEGUARDIAN.COM

Do nosso José Régio



De José Régio, in Net:

Originalidade Verdadeira e Originalidade Falseada

Em Arte, é vivo tudo o que é original. É original tudo o que provém da parte mais virgem, mais verdadeira e mais íntima duma personalidade artística. A primeira condição duma obra viva é pois ter uma personalidade e obedecer-lhe. Ora como o que personaliza um artista é, ao menos superficialmente, o que o diferencia dos demais, (artistas ou não) certa sinonímia nasceu entre o adjectivo original e muitos outros, ao menos superficialmente aparentados; por exemplo: o adjectivo excêntrico, estranho, extravagante, bizarro... Eis como é falsa toda a originalidade calculada e astuciosa.
Eis como também pertence à literatura morta aquela em que um autor pretende ser original sem personalidade própria. A excentricidade, a extravagância e a bizarria podem ser poderosas - mas só quando naturais a um dado temperamento artístico. Sobre outras qualidades, o produto desses temperamentos terá o encanto do raro e do imprevisto. Afectadas, semelhantes qualidades não passarão dum truque literário.



José Régio, in 'Presença, Folha de Arte e Crítica, 1927-1940'

ARTE de um Pintor Português

Rogério Silva nasceu na Feteira, Faial em 1929. Viveu em Angra do Heroísmo de 1947 a 1971, altura em que emigrou para os Estados Unidos, tendo fixado residência...
Ver Mais

UM CONTO...



...e, porque ler faz bem, aqui fica um conto de António Torrado, pesquisado na Net:

Conto de A, Torrado, in pesquisa Net:

"A janela e a montanha – A. Torrado
Posted on 07
António Torrado
O coração das coisas
Porto, Edições Asa, 2004


A JANELA E A MONTANHA
A janela abria para a frente, para fora, para o ar lavado da montanha.

Quem dormisse naquele quarto, ao saltar da cama, de manhã, abria a janela de dois batentes como se estivesse a respirar fundo. Enchia os pulmões de ar e os olhos de claridade. Era o primeiro exercício de ginástica.

Podia ficar por aqui, de cotovelos sobre o parapeito, a apreciar a paisagem. Ou podia voltar para dentro, com um pequeno arrepio de prazer.

A janela, que abria para fora, até nem se importava que voltassem a fechá-la. Tinha cumprido a sua missão. Dera, de longe, um primeiro abraço à montanha. Não pedia mais.

Eram muito amigas a montanha e a janela. Não podiam passar uma sem a outra. A janela emoldurava a montanha, por sinal que o seu lado mais fotogénico. A montanha sentia-se protegida por aquela janela prazenteira, sorridente, aberta de par em par.

Mas aconteceu que a estalagem, a que pertencia a janela, fechou. De vez. Falta de clientes, cansaço do dono ou fosse do que fosse, fechou. Portas e janelas trancadas.

A montanha olhava para a janela e sentia saudades. Cá em baixo, no vale, ouviam-na suspirar e diziam:

— É o vento da montanha.

Mas não era. Até a paisagem entristecia.

Da janela e do seu sentir não podemos saber. Pois se estava fechada. Só aberta, toda aberta de alegria é que ela era uma verdadeira janela.

A montanha convocou os ventos para que eles abrissem a sua janela, sem a qual nem as manhãs de orvalho apeteciam nem as tardes rubras do pôr-do-sol nem as noites alucinadas pela Lua Cheia.

— Para quê, para quê, se não tenho a minha janela a ver-me? — murmurava a montanha, inconsolável.

Mas os vendavais da montanha por mais esforços que fizessem, por mais empurrões que dessem não conseguiam abrir a janela. Impossível. Ela só abria para fora.

Desistiram. Não desistiu a montanha, que chorou, noites e noites a fio, a perda da sua janela.

Depois da época das chuvas, voltou o bom tempo. Romperam os malmequeres, no jardim abandonado da estalagem. A montanha cobriu-se de veludo roxo, que era uma maciça penugem de pétalas sobre o chão de urze. Começou a cheirar a rosmaninho.

— Parece que vão reabrir a estalagem, com nova gerência — contava-se, no vale.

E assim aconteceu. Quando a janela abriu as suas duas portadas, a abarcar a montanha, fez-se um grande silêncio.

— Olá, montanha — disse a janela.

— Olá, janela — disse a montanha.

Como se ainda ontem se tivessem visto… Mas ficaram que tempos, que tempos, a olhar uma para a outra."

...to a cocomber?????????????????'


BBC News
2 h ·


"You can have a fairytale even without the prince." 💍


Italian woman 'marries herself'

BBC.CO.UK|POR BBC NEWS

Através de Jorge Henrique Letria!



"Hijra - O Cavalo de Tróia Moderno, dá que pensar...
E se for realmente como suspeitamos?
É precisamente a pergunta que eu faço a mim próprio... Eu não consigo pôr um Euro de lado, nem ao menos para passear por aqui perto. Pergunto-me: como é que, então, um refugiado que tem que pagar US$ 3.000,00 a um passador, sabendo este que ele precisa de vários anos para chegar a ter US$ 1.000,00?
Além disso, quando eles são enviados de volta, alguns regressam de imediato. Então, eu penso que serão, provavelmente, terroristas misturados com refugiados "pobres".
Em teoria, não é tão improvável quanto isso! De onde vem este dinheiro todo?
O Hijra: Um "cavalo de Tróia" moderno... ou a doutrina islâmica de imigração? A estratégia de reconquista.. com 14 séculos de idade?
Quem são os migrantes que aportaram à Itália, à Grécia e a mais países europeus?
Dizem-se "refugiados" que perderam tudo. Os relatórios seguem, uns a seguir aos outros, para descrever as suas condições de vida terríveis. Eles têm, apenas, o suficiente para comer, mas, assim que chegam, logo vemos pegarem nos telemóveis e falarem... para quem? Reclamam que não têm Internet e wi-fi..
Metade dos 22 milhões de Sírios vivem com menos de US$ 2,00 por dia, desde há mais de 2 anos, devido à guerra.
Então, como arranjam entre US$ 3.000,00 a US$ 5.000,00 para pagarem aos contrabandistas?
E, se alguém estiver a financiar a viagem a jihadistas disfarçados de refugiados?
Quem são os mais perseguidos na Síria e no Iraque? São cristãos, Yezidis, mulheres, velhos, crianças.
Há algum cristão em navios de carga que chegam às costas italiana e grega? Não! São, essencialmente, muçulmanos.
Crianças, idosos, mulheres? Não muitos, só os necessários para o espectáculo, a grande maioria são homens solteiros.
Calais é testemunha.
A ONU fala de um milhão de crianças sem um cobertor para enfrentarem o inverno, enquanto que os "traficantes" têm 2 ou 3 milhões de dólares para comprarem cargueiros e depois abandoná-los, como acontece regularmente.
E esses contrabandistas passaram a ser marinheiros, capitães, mecânicos. Eles teriam aprendido a navegar navios de carga que depois abandonam?
Sabe-se que o Estado Islâmico tem enormes recursos financeiros, bancos, poços de petróleo.
Todo mundo sabe essa história, que foi o episódio final da Guerra de Tróia, e como terminou.
Como não podem retornar de forma anónima à Europa, depois de lutar pelo Estado Islâmico, os guerreiros muçulmanos entram disfarçados como refugiados e escondidos em navios que navegam no Mediterrâneo
Chegam às costas italiana ou grega e foram (e são) recebidos como um presente dos deuses: Eles ofereceram uma nova oportunidade aos europeus para repararem os seus crimes coloniais "abjectos", abrindo os braços para os mais desfavorecidos.
Este estratagema pretende provocar a queda do "império."
Qual o politico a quem o jornalista tem a coragem de fazer esta pergunta?
Mas, perguntem à CIA se tem dúvidas! Os milicianos do Estado Islâmico vêm para a Europa disfarçados de refugiados, segundo fontes de inteligência dos EUA.
Se a invasão muçulmana da Europa continua ao ritmo actual, em poucas décadas os cemitérios são os únicos lugares onde cristãos, judeus e outros... serão a maioria.
O Qatar é um dos países muçulmanos mais extremistas... Isto é bem conhecido, assim como a Arábia Saudita.
E porque será que os países árabes não acolhem os seus irmãos?
Toda a Europa se preocupa em acolher os «migrantes» (!), mas nenhum país islâmico se prontificou a recebê-los. Não seria isso natural? Não estariam eles todos bem melhor em países muçulmanos?
Para aqueles que ainda não sabem, a Embaixada do Qatar, numa das mais bonitas avenidas de Bruxelas (Avenue Franklin Roosevelt) tem previsto o financiamento da construção de uma mesquita para 6000 pessoas!
No entanto, o Ministério das Relações Exteriores não só se recusou a aprovar este financiamento, mas, também, respondeu ao Centro de Tawfiq islâmica "...que seria paradoxal aceitar esse tipo de financiamento proveniente de um país que não aceita nenhuma liberdade religiosa".
Vamos nós ser actores reais: Com apenas um envio deste mail para cinco contactos, seremos a base de, em 3 meses, 1 milhão de mails e 48 milhões em seis meses! Isso pode ajudar a abrir os olhos dos nossos próprios governantes..
O ministro das Relações Exteriores da Noruega, Jonas Gahr Støre, disse, ao jornal VG, a propósito do pedido da Arábia Saudita para a construção de uma mesquita: "Podemos, apenas, dizer NÃO. O Ministério não aprova, mas aproveitou a oportunidade para acrescentar que a aprovação seria paradoxal, sabendo que tentar estabelecer uma comunidade cristã na Arábia Saudita será considerado um crime punível por decapitação."
Porque será que os media ocidentais não difundem estas notícias?
Mas há países europeus (e são muitos) que (consciente ou inconscientemente) estão a preparar o seu suicídio.
NOTA: Outra mesquita está em construção no Court Saint-Étienne.
Eles têm o direito de destruir tudo o que é diferente do Islão (cristãos, coptas, judeus, budistas e, até mesmo, secular, etc., por exemplo: Palmira), mas invadem países ocidentais com as suas mesquitas e minaretes.
NOTAS:
1. Por que razão recusam caixas com comida e medicamentos, somente porque têm o símbolo da “Cruz Vermelha” impresso na caixa?
2. Por que razão não vão para os países árabes?
3. Onde vão eles buscar os EUR 3.000,00, por pessoa, para pagarem aos traficantes? Só para a travessia do Mediterrâneo (estamos a falar em cerca de 3.000 migrantes, por dia, a EUR 3.000,00 cada um! ) Isto dá, nada mais nada menos, EUR 9.000000,00 (nove milhões de Euros por dia, pagos pelo “pobres” povos sírio e árabe, para atravessarem o Mediterrâneo).
4. Além destes EUR 3.000,00, por pessoa, ainda têm de ter reservas para pagarem comboios, autocarros e outros transportes para atravessarem todos os Países, até chegarem à Alemanha, à França e à Inglaterra. Eles (os solteiros) não querem outros Países.
5. Qualquer País fora da Síria seria bom para ficarem em paz e segurança! Não... eles (os solteiros) só querem Alemanha, França e Inglaterra. Para os outros Países (como Portugal, Espanha, Itália, etc.) vão as famílias. Porquê?! A maior parte dessas famílias mostram ter menos de 25 anos.
6. DÁ QUE PENSAR, NÃO É?
EUROPEUS... Abram os olhos e vejam em que se estão a meter...
Quem estará a suportar estas DESPESAS? (Cerca de EUR 9 milhões, por dia)... Isto é exagerado, especialmente para famílias que vivem com menos de US$ 2,00 por dia!
Em 2017 já chegaram mais cerca de 30.000"

BOA TARDE, MEUS AMIGOS E VISITANTES!


terça-feira, 26 de setembro de 2017


OPINIÃO
O que é que se passa na Europa e em Portugal face à Catalunha?


Os catalães mereciam mais dos portugueses. Por interesse nacional, pela democracia e pela liberdade.
23 de Setembro de 2017, 6:52
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Não se percebe o que é que se passa na Europa e em Portugal perante os acontecimentos na Catalunha. Ou melhor, percebe-se bem de mais. O governo e a Assembleia catalã pretendem realizar um referendo para perguntar aos seus cidadãos se querem ou não uma Catalunha independente. Do ponto de vista do Estado espanhol, e da Constituição espanhola, o referendo é ilegal, o que implicaria que deste ponto de vista os seus resultados seriam juridicamente nulos. Impedir a realização do referendo é uma coisa de natureza muito diferente e destina-se a impedir não os seus efeitos jurídicos, mas os seus efeitos políticos. Por isso, o problema é eminentemente político e o modo como tem sido tratado é igualmente significativo no plano político.
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É por isso mesmo que não compreendo, ou melhor, compreendo bem de mais, por que razão se silencia o debate político e se aceita o modo como o Governo espanhol está a reagir, com prisões, congelamento dos fundos, fecho de sites na Internet, ameaças de todo o tipo e, na prática, ocupação policial de instalações sob jurisdição do governo da Catalunha. Como não se quis invocar o artigo da Constituição espanhola que permitia, na prática, a ocupação policial da Catalunha e a cessação da sua autonomia, para evitar seguir os procedimentos legais da sua aplicação, a actuação governamental espanhola é igualmente de duvidosa legalidade. De novo, voltamos ao problema político que se pode resumir facilmente: os catalanistas esperam uma maioria de votos a favor da independência e os “espanholistas” temem o mesmo resultado. Não adianta dizer na mesma frase que se pensa que, se fossem votar, os catalães recusariam a independência, e impedir o referendo que, nessa presunção, daria uma forte legitimação ao Estado espanhol e um brutal golpe nas aspirações independentistas. De novo, insisto, uma coisa é fazer o referendo e assumir como nulos os seus resultados, fossem num sentido ou noutro; outra é impedi-lo. O impedimento mostra medo do voto, e isso fragiliza muito a posição governamental e dos partidos hostis à possibilidade de independência catalã.
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Boa noite, meus amigos!


POEMA meu(OBRA REGª)




















Poema :

QUANDO A PROSA ME INVADE A POESIA

( A prosa da vida-em-poema)

Pensei perdurar-te em mim ao gravar meu nome ao lado do teu, no tronco robusto das árvores do adro, recheadas de tons das “Avé- Maria” que o sino cantava em toda a harmonia, no vale, ao fim do longo dia de trabalho. Mas a imortalidade, se existe, é apenas para os mágicos seres de um deus, que não sei onde está. Na parede cor de cal da igreja paroquial, na inocência dos dias que estariam para vir, gravei, em obsessão morta-viva o teu perdurar-em-mim, numa palavra que te denunciava o nome.

Depois, as palavras foram crescendo ao ritmo dos dias que foram-vindo, e vi que te ia guardando nas reticências dos pontos de exclamação, que fui soltando no silêncio de Mim-Comigo em grandes pontos de interrogação. Ergui-te na minha vida como pó de ouro refulgente-ofuscante, em palavras do tamanho do sol a perder-se no horizonte. O horizonte, no entanto, deixa de se ver ao cair da noite dos firmamentos, que se confundem com o riso dos ventos, que saltam do mar para a terra e desta para o ar.

Caíram, de velhos, os troncos da árvore centenária, que ia vivendo na solidão do adro da igreja paroquial…Morta a grandiosa fonte de sombra dos pesados dias de calor, desapareceram os ramos e as folhas e com eles, o nosso nome, que tínhamos gravado no majestoso tronco com toda a destreza do nosso ardor. Persiste a Terra onde Fomos-Sendo a continuação dos tempos, a renovar e a reviver.

Hoje, quereria abraçar-te com a força de um ramo que se entrelaça, vigorosamente, aos ramos que estão no seu derredor, como que a cobri-los de amor…Quereria olhar-te, para ver se teus olhos ainda guardam escritas neles, as palavras com que te amei. Minha prosa da vida-em-poema recorda a sagrada identidade do que Fui-em-Ti, sem máscaras vazias de promessas, aniquiladas pelas interrogações subjacentes ao Termos-Sido…

Continuo a subverter as personagens dos mitos e sou Eurydice à procura de um Orpheu rebelde que, eu sei!-não poderei encontrar, pois no tronco da velha árvore ficaram inscritos só o teu nome e o meu…

Maria Elisa Ribeiro
AGOSTO/015