segunda-feira, 30 de novembro de 2015

Boa noite, amigos de lusibero!


Este país não é para refugiados
30.11.2015
JOSÉ MANUEL DIOGO










Uma coisa é certa. Os refugiados não querem vir para cá. Apesar da nossa famosa tranquilidade, propalado crescimento económico e aparente progresso, os que fogem da guerra não querem recomeçar a vida em Portugal. Valores mais altos se levantam.

Não deixa de ser inquietante pensar que as famílias que arriscam a vida em barcos no mar e se acotovelam em campos de refugiados no centro da Europa, quando confrontados com a possibilidade de um bilhete para Lisboa, não queiram sequer ouvir falar de Portugal. A pergunta grita, mas a resposta mete-se pelos olhos dentro: quem já arriscou tudo não se contenta com pouco. Quase todos preferem continuar estacionados num centro de acolhimento de refugiados (CAR) num qualquer país da Europa central, sujeitar-se, a si e aos seus filhos, a duras condições de vida, que ainda vão piorar com a chegada do inverno, do que escolher vir morar para o nosso clima ameno e ensolarado. Não o querem fazer sem esgotar todas as hipóteses de ir para os países ricos do Norte. Na equação entre sol e futuro, Portugal fica a perder.

Foi na semana passada que começaram a chegar as notícias. "A esmagadora maioria dos requerentes de asilo que transitam pela Europa querem seguir para a Alemanha e para a Suécia", mostraram as televisões, disseram as rádios, depois escreveram os jornais. O Serviço de Estrangeiros e Fronteiras reconhece que o processo de recolocação de refugiados está a ter dificuldades devido à burocracia (os países do Norte anteciparam o problema e resolveram essas questões), mas também (ou sobretudo) porque os refugiados recusam viajar para Portugal. No início de setembro, o Governo anunciou que iria acolher quase cinco mil, mas até ao Natal apenas 50 deverão chegar vindos da Itália e da Grécia. Entre os refugiados, circula a informação de que nos países do Norte há trabalho e se pode ter um bom nível de vida, enquanto sobre Portugal o desconhecimento é absoluto. Tão absoluto, que o embaixador português na Grécia, Rui Alberto Treno, teve que ir a um CAR na ilha grega de Kos apresentar o país e explicar aos refugiados o que os espera quando chegarem à ocidental praia lusitana. Uma espécie de embaixador do Aicep, que em vez de captar investimento vai à procura de refugiados que aceitem o nosso país. Esta ideia que à partida até pode parecer bizarra - mas por que é quero eu ter refugiados em dificuldades minha casa? - ganha outros contornos quando despojada dos atuais medos do terror e outros preconceitos. A história mostra que há sempre vantagem em receber emigrantes. Umas diretas e outras indiretas. No caso presente, há uma vantagem imediata: o apoio monetário da Europa. Por cada refugiado que aceite vir para Portugal, o Governo recebe de imediato seis mil euros e o apoio estende-se até 2020. Se todos quiserem vir - e Portugal disponibilizou-se para receber 4754 -, o valor total envolvido pode oscilar entre 28 e 70 milhões de euros. Mas, mais importante do que este bónus pecuniário, são as vantagens indiretas: desde sempre, todas os estados do Mundo beneficiaram muito com a chegada de emigrantes. Os Estados Unidos, o Canadá, o Brasil, a França, a Inglaterra e a Alemanha não seriam o que são hoje sem os fluxos de migrantes italianos, russos, chineses, japoneses, portugueses, indianos, marroquinos, turcos, etc., etc.

Portugal - pobre, envelhecido e preguiçoso -, a braços com os problemas sociais e económicos próprios das nações com crescimento demográfico negativo e fraca produtividade, pode aproveitar muito com a chegada dos refugiados. É certo que as causas da presente onda de migrantes são terríveis - a guerra da Síria e a desregulamentação no Magreb são verdadeiras tragédias -, mas estas famílias que podem agora chegar a Portugal são uma verdadeira oportunidade para nós. Assim eles quisessem vir.

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L'islam de France affiche son unité contre le terrorisme
HOME ACTUALITE SOCIÉTÉ

Par Jean-Marie Guénois
Mis à jour le 30/11/2015 à 10:54
Publié le 29/11/2015 à 20:33




VIDÉO - Dimanche, des centaines de responsables musulmans se sont réunis à Paris à l'appel du CFCM.

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Il y a du réchauffement dans l'air dans l'islam de France aussi. Dimanche, pour la première fois de son histoire pourtant marquée par les divisions, les plus hauts responsables de cette religion se sont réunis à l'Institut du monde arabe pour dire non au terrorisme islamiste. Cette séance exceptionnelle - intitulée «Rassemblement citoyen des musulmans de France» et sous-titrée «Tous ensemble contre le terrorisme»- a été ouverte par une prière chantée du Coran qui affirme que «tuer un homme revient à tuer l'humanité» et elle s'est conclue avec le chant de La Marseillaise dans une salle de congrès archicomble, où les représentants religieux des quinze fédérations ou grandes mosquées, que le Conseil français du culte musulman (CFCM) avait réussi à rassembler sous l'égide de son président, Anouar Kbibech, se tenaient debout.

Le ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, salué en conclusion par une ovation debout, venait d'ailleurs de reconnaître «la force de l'attachement sans faille à la République» des musulmans français, ajoutant: «Vous êtes de magnifiques Français et de magnifiques Républicains», tout en les appelant à prendre leur part de responsabilité dans la lutte contre la radicalisation - «personne ne pourra le faire à votre place» - et en énumérant les multiples mesures déjà prises car «nous devons vouloir ensemble, musulmans et République, que les prêcheurs de haine soient arrêtés et punis», assurant de «l'intransigeance» du gouvernement contre «certains discours obscurantistes» parce qu'il est «inadmissible» que des «jeunes Français» soient exposés à cette «bêtise» issue d'une «théologie frelatée».

Avant son allocution, les musulmans de France avaient solennellement proclamé un «Manifeste citoyen des musulmans de France» qu'ils venaient de signer et qui réaffirmait «avec la plus grande force» leur «condamnation totale et sans réserve» des actes terroristes et leur «profonde compassion» pour les «familles des victimes». Mais qui insistait tout autant pour éviter tout «amalgame» sur «l'adhésion» au «pacte républicain», qui constitue «le socle de notre société» et qu'«aucune considération religieuse, philosophique ou idéologique» ne peut «remettre en cause».


Au cours de l'après-midi, dans le cadre de tables rondes, plus d'une vingtaine de responsables -tous masculins- ont tenté de diagnostiquer les causes de la «radicalisation mortifère» et de trouver les «remèdes» à y apporter. La responsabilité des «familles» a été mise en première ligne, tout comme la nécessité d'une «formation» accrue tant des imams que des jeunes, avec l'idée de la création d'une «école théologique virtuelle» sur Internet. Sur ce plan, le représentant de la Fédération nationale des musulmans de France a d'ailleurs regretté quel'islam de France ait échoué il y a plusieurs années dans la création d'un «institut de théologie» national, car «nous n'avons pas su tenir compte de nos différentes tendances théologiques».


«Nous avons subi un électrochoc et nous ne pouvons plus faire comme avant, car nous avons vu naître ces jeunes terroristes… Nous sommes comme le Dr Frankenstein. Sans nous en rendre compte, nous avons contribué, par nos paroles, à fabriquer des monstres ! »Assani Fassassi, représentant de la Fédération française des associations islamiques d'Afrique, des Comores et des Antilles

Mais c'est le représentant de la Fédération française des associations islamiques d'Afrique, des Comores et des Antilles, Assani Fassassi, qui a mis les pieds dans le plat en affirmant: «Nous avons subi un électrochoc et nous ne pouvons plus faire comme avant, car nous avons vu naître ces jeunes terroristes… Nous sommes comme le Dr Frankenstein. Sans nous en rendre compte, nous avons contribué, par nos paroles, à fabriquer des monstres!» Sous les applaudissements, il a alors affirmé: «Si nous sommes ici à chercher à égrener, les uns derrière les autres, nos solutions, c'est parce que le Conseil français du culte musulman a eu le réflexe de lancer cette initiative. Mais aucune fédération, prise séparément, n'aurait jamais pu réunir une telle assemblée.» Il a alors invité à consolider une «unité qui ne soit pas que de façade».

Juste avant lui, le recteur de la mosquée de Lyon, Kamel Kabtane, avait posé la même question de la division de l'islam de France: «Nous sommes ici quatre cents, mais qu'allons-nous faire demain? Il est dommage que nous soyons encore séparés, car chacun agit en fonction de ses intérêts. Or quand la situation est difficile, l'ensemble des musulmans doivent s'unir et nous avons aujourd'hui intérêt à être rassemblés dans une fédération forte, car, depuis le 13 novembre, les regards ont changé sur nous: il nous faut faire en sorte que les musulmans ne soient plus les parias de la société.»


«Ce sont les imams de poche qui prêchent la haine via les téléphones portables. Ceux-là, transnationaux, on ne peut pas les perquisitionner»Amar Lasfar, président de l'Union des organisations islamiques de France

Sur un registre plus polémique, un des responsables des mosquées de Marseille a publiquement critiqué les «perquisitions musclées» effectuées «dans le cadre de l'état d'urgence» et dont «les musulmans sont victimes» comme si «fermer une mosquée pourrait arrêter le terrorisme et la haine alors que nos imams n'ont rien à voir avec le terrorisme».

Mais le ton majoritaire de l'assemblée a nettement été dans le sens de «la prise de responsabilité» des musulmans «contre ce fléau», comme l'a martelé Anouar Kbibech. Ainsi de la prise de parole d'Amar Lasfar, président de l'Union des organisations islamiques de France (UOIF): «Nous avons échoué pour onze individus qui ont semé la terreur et tué, mais grâce au travail de nos imams et de nos 2500 mosquées, nous avons immunisé contre l'extrémisme des dizaines de milliers d'autres jeunes musulmans! Il n'est pas possible de réduire les musulmans de France à ces onze fous. Ne cherchez donc pas le mal là où il n'est pas. Ce sont les imams de poche qui prêchent la haine via les téléphones portables. Ceux-là, transnationaux, on ne peut pas les perquisitionner.»

Dans "Le Figaro.fr"


EN DIRECT - COP21 : Obama appelle ses homologues à «être à la hauteur» des enjeux
HOME ACTUALITE ENVIRONNEMENT

Par William Plummer
Mis à jour le 30/11/2015 à 15:48
Publié le 30/11/2015 à 07:15




En ouverture de la 21e conférence climatique de l'ONU au Bourget, le président américain a également estimé qu'il n'y avait pas de conflit entre croissance et protection de l'environnement.


TOUT LE LIVELES ESSENTIELS
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EN COURS : Mis à jour à 15:48
à 15:48Merkel : "Nous devons obtenir des résultats concrets d'ici 2020"

Les pays riches doivent "tenir leur promesse" de verser tous les ans aux pays pauvres 100 milliards de dollars dès 2020 pour les aider à faire face au changement climatique, a souligné lundi la chancelière Angela Merkel à la conférence de Paris sur le climat. "A Paris, nous devons tenir les promesses que nous avions faites à Copenhague et nous devons obtenir des résultats concrets d'ici 2020, à savoir le déblocage de 100 milliards de dollars annuellement", a-t-elle déclaré lors du sommet de quelque 150 chefs d'Etat et de gouvernement réuni au premier jour de la COP21."Les dégâts passés" dus au changement climatique "sont une responsabilité qui nous incombe", a-t-elle souligné.
à 15:30Le point à 15h30



La 21e Conférence des parties (COP21) s'est ouverte lundi matin, en présence des chefs d'Etat de 150 pays. Dans le parc d'expositions du Bourget, transformé en véritable forteresse, l'Américain Barack Obama, le Chinois Xi Jinping, le Canadien Justin Trudeau et leurs homologues du monde entier ont été accueillis par le président français François Hollande et le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon. Le marathon des négociations doit durer jusqu'au 11 décembre.

o Ouverture officielle

Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères et président de la COP21, a ouvert officiellement la 21e Conférence des parties, peu après 10h. "Nous avons une obligation de succès" car "l'enjeu est beaucoup trop important et la menace climatique beaucoup trop grande pour que nous puissions nous contenter d'un accord minimal", a-t-il déclaré. Ensuite, Ban Ki-moon, secrétaire général des Nations Unies, a pris la parole et a fait observer une minute de silence en mémoire des victimes des attentats du 13 novembre.

o Hollande demande un accord "différencié, universel et contraignant".

Au terme de la conférence, "le 12 décembre, un accord doit être trouvé à Paris", a souligné François Hollande qui demande un accord "différencié, universel et contraignant". "Les pays développés doivent assumer leur responsabilité historique, ce sont eux qui ont émis pendant des années le plus de gaz à effet de serre; les pays émergents doivent accélérer leur transition énergétique, les pays en développement doivent être accompagnés dans leur adaptation aux impacts climatiques", a-t-il résumé.

o Barack Obama assume sa part de responsabilités

"Les Etats-Unis reconnaissent leur rôle dans la genèse du problème" du réchauffement climatique et "assument leur responsabilité pour le régler", a déclaré Barack Obama. "Nous sommes en mesure de changer l'avenir ici et maintenant, mais ce ne sera possible que si nous sommes à la hauteur des enjeux. Nous avons prouvé qu'une croissance économique forte et un environnement plus sain n'étaient pas forcément en conflit", a-t-il ajouté.

o Le point sur la circulationConséquence inattendue des appels à laisser la voiture au garage, à 8h30, normalement pic de circulation de la matinée, quelque 21 kilomètres de ralentissements étaient comptabilisés sur le réseau francilien, contre 250 habituellement un lundi à cette heure. Les autorités avaient appelé les Franciliens à ne pas utiliser leur voiture, à éviter les transports en commun et les entreprises à laisser leurs salariés prendre une journée de RTT, en raison de la tenue de la conférence.
à 14:36Les pays riches doivent "apporter un appui financier accru"

Les pays développés doivent "être à la hauteur de leurs engagements" en parvenant d'ici à 2020 à mobiliser 100 milliards de dollars par an pour financer des projets climat dans les pays du Sud, a déclaré le président chinois Xi Jinping. Il a aussi appelé les pays riches à "apporter un appui financier accru" au-delà de 2020 aux pays en voie de développement pour les aider à lutter contre le réchauffement climatique.
à 13:48Vladimir Poutine souhaite un «accord, global, efficace et égalitaire»

Le président russe Vladimir Poutine, affirme que la Russie oeuvre à la réduction de gaz à effet de serre, notamment en modernisant ses structures, le tout en doublant son PIB. Il a souligné le rôle des forêts, nécessaire à préserver car elles sont «un poumon pour la planète» et nombreuses en Russie.

E MUDOU ALGUMA COISA?


Dois anos após Snowden, privacidade e segurança permanecem em conflito


PEDRO GUERREIRO

29/11/2015 - 15:16


A ameaça terrorista continua a ser apontada para justificar o reforço da cibervigilância. Na Alemanha, a espionagem nas redes sociais desencadeou uma tempestade política. No Reino Unido, David Cameron quer aceder ao WhatsApp e ao iMessage.NUNO FERREIRA SANTOS




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Terror em Paris


Desde 1962 que a Alemanha não acusava um jornalista de traição. Em Julho último, o director do site noticioso especializado em direitos digitais Netzpolitik, Markus Beckedahl (que esta segunda-feira abre o ciclo de palestras "Viver na Sociedade Digital" do Goethe-Institut, em Lisboa), e o jornalista Andre Meister foram notificados pela Procuradoria-Geral germânica numa investigação sobre uma fuga de informação nos serviços secretos internos alemães. Em causa estavam dois artigos relativos à constituição de uma unidade especial da secreta para a vigilância das redes sociais. As notícias, publicadas em Fevereiro e Abril, baseavam-se em documentos confidenciais que detalhavam a iniciativa e incendiaram o debate sobre a privacidade num país que, devido ao trauma nazi e soviético, é especialmente sensível à ideia de uma recolha de dados privados.

O que foi interpretado pelos jornalistas e por grande parte da classe política germânica como uma tentativa de intimidação por parte do Estado acabou por ter o efeito contrário, renovando a atenção mediática sobre os planos da secreta e multiplicando protestos em defesa da liberdade de imprensa. Em Agosto, o caso transformou-se num escândalo político. Num acto raro de dissensão pública entre os poderes judicial e executivo, o procurador-geral Harald Range denunciou pressões “intoleráveis” por parte do Governo de Angela Merkel para que o caso fosse arquivado. Dias depois, o ministro da Justiça Heiko Maas demitiu Range, citando uma completa quebra de confiança no magistrado.

A investigação contra o Netzpolitk foi travada e o órgão digital recebeu milhares de euros em donativos. Mais relevante ainda, a sociedade civil alemã pronunciou-se mais uma vez em defesa da privacidade online na era pós-Snowden.

No Reino Unido, o debate avança noutro sentido. O primeiro-ministro conservador David Cameron pede desde Janeiro a aprovação de um diploma legislativo para combater a chamada encriptação end-to-end, que possibilita a comunicação confidencial entre dois utilizadores mesmo através de uma rede não protegida – casos concretos são os dos serviços de mensagem WhatsApp, iMessage e Snapchat, entre outros. Na prática, Londres exige a empresas como a Apple que disponibilizem às autoridades um canal de acesso a estas comunicações teoricamente blindadas em caso de investigação criminal.

Na sua versão actualizada, de 4 de Novembro, a Investigatory Powers Bill insere-se num movimento mais vasto do Governo de Cameron contra a livre utilização de comunicações digitais, que também inclui o bloqueio automático de conteúdos pornográficos na Internet. Esta última medida é objecto de um diferendo entre Londres e Bruxelas, depois de o Parlamento Europeu ter consagrado, em Outubro, a neutralidade da Internet, proibindo os fornecedores de acesso à rede de discriminarem serviços e conteúdos online, salvo num reduzido conjunto de situações.

Se o Executivo inglês tem repetidamente aludido ao combate à pedofilia e à exposição de menores a conteúdos explícitos no caso do bloqueio da pornografia, a ameaça terrorista é abertamente utilizada como justificação para o fim das comunicações encriptadas. O argumento é repetido em vários países ocidentais e ganhou força após os atentados de 13 de Novembro em Paris, apesar de as investigações judiciais em curso não terem ainda comprovado que a célula terrorista sedeada na Bélgica tenha recorrido a serviços de mensagens encriptadas. A informação veiculada pela Forbes de que o Estado Islâmico teria organizado os ataques através da plataforma da PlayStation 4, por exemplo, foi desmentida.

Activistas como Beckedahl acusam as autoridades europeias e norte-americanas de orquestrarem uma campanha mediática destinada a criar um clima favorável a uma limitação das liberdades digitais. Dois anos após as estrondosas revelações feitas pelo antigo agente da NSA Edward Snowdensobre a dimensão do aparelho global de espionagem informática ao serviço das capitais ocidentais, a opinião pública revela-se dividida. Nos Estados Unidos, e de acordo com um inquérito conduzido em Maio pelo Pew Research Center, 54% dos norte-americanos opunha-se à recolha de dados digitais em massa, no âmbito do combate ao terrorismo. Já no Reino Unido, e uma semana após o ataque à redacção do Charlie Hebdo, em Janeiro, 52% dos inquiridos apoiavam um reforço dos mecanismos de monitorização das comunicações privadas.

A Economia não cresceu nos terceiro e quarto trimestres deste ano! passos SEMPRE A MENTIR DESDE O PRINCÍPIO DA CAMPANHA ELEITORAL!!!!


A estratégia de um governo que quer ir além da política de rendimentos


PAULO PENA

30/11/2015 - 08:02


António Costa será julgado pela "solidez e durabilidade" do acordo com os partidos de esquerda. Mas promete "reformas" que vão além da "urgência" das Finanças.António Costa participou ontem na reunião de trabalho entre o Conselho Europeu e as autoridades da Turquia sobre o problema dos migrantes ERIC VIDAL/REUTERS




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MAIS
Costa assegura que a UE está “muito tranquila” com Portugal
As oito prioridades do programa do PS
O programa do Governo PS na íntegra


Quando apresentou as suas ideias, como candidato à liderança do PS, em Julho do ano passado, António Costa disse uma frase que pouca gente levou a sério. Na altura, como agora, os temas centrais do debate político eram, sobretudo, orçamentais, de finanças públicas: a trajectória do défice, a inversão da curva ascendente da dívida. O candidato pouco falou disso e, quando confrontado com a falha, respondeu com uma ideia que parecia uma boutade: "Isso é uma questão instrumental, não é estratégica."

E continuou a sua argumentação: “Há quem entenda que o problema começou na dívida. Eu entendo que o problema começou na falta de competitividade da nossa economia e na dificuldade que temos tido em adaptar-nos ao choque que no início do século tivemos com a entrada no euro.”

Agora, é precisamente essa ideia que nos ajuda a perceber um incomum afastamento do ministro das Finanças, Mário Centeno, do "pódio" da hierarquia governamental. As Finanças não são o segundo, nem o terceiro ministério mais importante no executivo, como foram com Durão Barroso, José Sócrates ou Pedro Passos Coelho. O corte com esse passado recente foi assumido, e sublinhado: "A estrutura do Governo (...) é também expressão desta visão estratégica."

Costa repetiu a mesma ideia na tomada de posse do XXI Governo, na passada quinta-feira, no Palácio da Ajuda. "O aumento e protecção do rendimento disponível das famílias, o alívio da asfixia fiscal da classe média, o desendividamento e condições de investimento das empresas, o combate à pobreza, a garantia de serviços e bens públicos essenciais são necessidades do tempo da urgência social e económica, condição de relançamento da economia e da criação de emprego", começou por dizer.

Mas há um "mas"... "A satisfação das necessidades do país não se basta neste tempo da urgência, antes exigindo a continuidade que permite enfrentar os bloqueios estruturais à competitividade, que tanto têm dificultado a adaptação da economia nacional ao novo quadro resultante da globalização, do alargamento da UE e da participação no euro."

Essas serão as duas tarefas prioritárias do seu número dois, Augusto Santos Silva (Negócios Estrangeiros) e Maria Manuel Letão Marques (Presidência e Modernização Administrativa).

"As reformas que temos de fazer são outras e exigem persistência e continuidade no investimento no conhecimento e na inovação, na modernização do tecido empresarial e da administração pública, na valorização do território e dos seus recursos, na promoção da saúde, no reforço da coesão e na redução das desigualdades", adiantou o novo primeiro-ministro.

Estas são as linhas principais do documento que apresentou como candidato à liderança do PS, que o partido viria a aprovar como moção estratégica, e que Costa lembrou, perante Cavaco Silva.

Aprofundar os acordos à esquerda
Mas as circunstâncias que o levaram a São Bento parecem contradizer estas palavras. Os acordos que assinou com o BE, o PCP e o PEV incidem, sobretudo, na política de rendimentos. O principal escrutínio que se fez da inédita convergência parlamentar da esquerda também privilegia a vertente financeira. O Presidente da República lembrou-o, a Costa, na cerimónia do Palácio da Ajuda: "O superior interesse nacional é muito claro: devemos consolidar a trajectória de crescimento económico e preservar a credibilidade externa. Não podemos regredir num caminho que foi árduo, em que foram pedidos muitos sacrifícios aos portugueses."

O primeiro-ministro, que participou neste domingo no seu primeiro Conselho Europeu (sobre refugiados) e que participa, nesta segunda-feira, em Paris, na Cimeira do Clima, costuma dizer que os temas financeiros são centrais num "tempo de urgência", que não deve esgotar o resto. O "tempo de continuidade" em que se jogam as matérias decisivas: "Valorizar os recursos; modernizar a actividade económica e o Estado; investir na cultura e na ciência; reforçar a coesão social."

Não há nada neste enunciado que seja, à partida, incoompatível com os programas dos seus parceiros à esquerda. Em muitas das medidas concretas que constam do documento que a Assembleia da República vai apreciar a partir de quarta-feira, o Governo propõe-se fazer na Ciência, na Educação, na Saúde e na Cultura muito do que o BE, o PCP e o PEV também defendem.

O Pensamento de JUNG...



O Pensamento de Carl Gustave Jung (1875-1961), in O Citador

O Lado Obscuro de cada um de Nós
Passou no seu casamento por aquilo que é quase um facto universal - os indivíduos são diferentes uns dos outros. Basicamente, constituem um para o outro um enigma indecifrável. Nunca existe acordo total. Se cometeu algum erro, esse erro consistiu em ter-se esforçado demasiadamente por compreender totalmente a sua mulher e por não ter contado com o facto de, no fundo, as pessoas não quererem saber que segredos estão adormecidos na sua alma. Quando nos esforçamos demasiado por penetrar noutra pessoa, descobrimos que a impelimos para uma posição defensiva e que ela cria resistências porque, nos nossos esforços para penetrar e compreender, ela sente-se forçada a examinar aquelas coisas em si mesma que não desejava examinar. Toda a gente tem o seu lado obscuro que - desde que tudo corra bem - é preferível não conhecer.
Mas isto não é erro seu. É uma verdade humana universal que é indubitavelmente verdadeira, mesmo que haja imensas pessoas que lhe garantam desejar saber tudo delas próprias. É muito provável que a sua mulher tivesse muitos pensamentos e sentimentos que a tornassem desconfortável e que ela desejava ocultar de si mesma. Isto é simplesmente humano. É também por este motivo que tantas pessoas idosas se refugiam na própria solidão, onde não serão incomodadas. E é sempre sobre coisas de que elas não desejariam estar muito cientes. O senhor não é, obviamente, responsável pela existência destes conteúdos psíquicos. Se, apesar disto, ainda for atormentado por sentimentos de culpa, reflicta então sobre os pecados que não cometeu e que gostaria de ter cometido. Isto poderá eventualmente curá-lo dos seus sentimentos de culpa relativamente à sua mulher."...


Carl Jung, in 'Cartas'

De Jorge Luis Borges...



Poema de Jorge Luis Borges, in Net

Sou
Sou o que sabe não ser menos vão
Que o vão observador que frente ao mudo
Vidro do espelho segue o mais agudo
Reflexo ou o corpo do irmão.
Sou, tácitos amigos, o que sabe
Que a única vingança ou o perdão
É o esquecimento. Um deus quis dar então
Ao ódio humano essa curiosa chave.
Sou o que, apesar de tão ilustres modos
De errar, não decifrou o labirinto
Singular e plural, árduo e distinto,
Do tempo, que é de um só e é de todos.
Sou o que é ninguém, o que não foi a espada
Na guerra. Um esquecimento, um eco, um nada.


Jorge Luis Borges, in "A Rosa Profunda"

Poema (meu)-obra regª














DOR DA LUZ


Se ao menos o Tempo encontrasse o que o meu imo anseia…
Se ao menos eu pudesse ler o aroma dos pinheiros
quando, vergados à neve, choram lamentos
que não cabem nos alfabetos dos ventos dispersos…

Se nevasse nos meus sonhos
e se apagasse a dor da luz que ainda te recorda,
sentirias o ímpeto da seiva telúrica
que, livremente, circula pelas minhas tantas ruas-
-vida imediata de poesia tecida…

Amo essas cores de tela impressionista
que imprimem força ao correr de um rio, para a cascata;
amo a força das ondas do mar que se desfazem
em espuma, num areal de prata;
amo a dor da luz que dos olhos se te solta!

Se ao menos pudesse pintar o mistério
da poesia que tu respiras,
frente às ondas de um mar de sensações…
Se conseguisse ser lúcida
na espontaneidade com que o pensamento te retrata…

Mas a noite e o vento são hostis

e o tempo passa tão rápido

que,ao amanhecer,

da tela que pintei
só uma flauta


toca o som da rosa rubra
a desmaiar,


cansada e sem forças para desabrochar.


Oh! Se ao menos a alucinada poesia não tivesse
palavras para te descrever…


Maria Elisa Ribeiro-

domingo, 29 de novembro de 2015

Boa noite, amigos de Lusibero!(foto google)-Feliz nova semana!


Paulo de Morais: outro HOMEM de HONRA, candidato à Presidência da República!

Gastronomia portuguesa!



BOLO DE NATAL
Sugestão para os vossos "convívios"
Bom Apetite!!!

INGREDIENTES
4 ovos
350 g de açúcar
300 g de farinha de trigo com fermento
220 g de cenoura ralada crua
120 g de nozes e amêndoas picadas
120 g de fruta cristalizada aos bocadinhos
120 g de passas de uva
120 g de ananás picado
75 g de coco ralado
2,5 dl de óleo vegetal
1 colher (sobremesa) de canela
1 pitada de sal
margarina para untar e farinha de trigo para polvilhar


PREPARAÇÃO
Bater o açúcar com as gemas até obter um creme fofo e esbranquiçado. Juntar a cenoura ralada e os restantes ingredientes com excepção da farinha de trigo. Mexer bem. Acrescentar depois a farinha de trigo e misturar bem.
Bater as claras em "castelo" com 1 pitada de sal. Envolver as claras na massa com cuidado.
Levar a cozer em forno pré-aquecido numa forma untada com margarina e polvilhada com farinha de trigo
Antes de retirar do forno verificar a cozedura com o "teste do palito".
Desenformar depois de arrefecer. Decorar a gosto.

SUGESTÕES
- Quando coloquei os frutos secos picados envolvi-os num pouco de farinha, para que não ficassem no fundo.
- Em termos de temperaturas e tempos de cozedura, a receita original recomenda forno pré-aquecido a 180º C e 40 minutos.
http://www.cincoquartosdelaranja.com/…/01/bolo-de-natal.html

LISBOA ROMANA POR BAIXO DOS NOSSOS PÉS...(in "Público"


Há um documentário que desvenda parte da Lisboa romana por debaixo dos nossos pés


INÊS BOAVENTURA

29/11/2015 - 09:00


O documentário Fundeadouro Romano em Olisipo, de Raul Losada, inclui uma recriação em três dimensões da cidade na época romana. O ponto de partida para o trabalho foi uma notícia do PÚBLICO sobre escavações arqueológicas na Praça D. Luís I.





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Entre ânforas e cerâmicas escondia-se parte de uma embarcação romana
Caco a caco, os vestígios romanos da Praça D. Luís I vão ganhando forma
Meio milénio da história da cidade de Olisipo revelado na Praça D. Luís I


A descoberta de um fundeadouro romano no subsolo de Lisboa, feita pelos arqueólogos durante a construção de um parque de estacionamento na Praça D. Luís I, deu origem a um documentário. Com esta obra, que inclui uma recriação em três dimensões de Olisipo, Raul Losada quer dar a conhecer a cidade com cerca de dois milénios que se esconde debaixo dos nossos pés.

O documentário Fundeadouro Romano em Olisipo, apresentado como “um projecto de divulgação do património arqueológico”, foi exibido pela primeira vez em Outubro, no Museu Nacional de Arqueologia (MNA). Depois disso, o filme com 55 minutos foi também projectado na Ordem dos Arquitectos e no Museu Marítimo de Ílhavo.

A expectativa do autor do documentário é que ele venha a ser exibido por um canal de televisão português, mas enquanto isso não acontece sabe-se já que a recriação arqueológica virtual de Olisipo que foi produzida para o filme e um excerto do mesmo estarão patentes na exposição Lusitânia Romana - Origem de dois povos, que será inaugurada em Dezembro no MNA.

Segundo Raul Losada, para o início de 2016 está também prevista a sua projecção no Cinema São Jorge, em Lisboa, numa parceria com a empresa municipal EGEAC e com o Centro de Arqueologia de Lisboa. A expectativa do realizador do documentário é que ele seja também exibido, nos próximos dois anos, em vários festivais de arqueologia fora de Portugal.

A história deste documentário começa, como conta Raul Losada, com uma notícia do PÚBLICO, de Fevereiro de 2013. Nela, dava-se conta de que na Praça D. Luís I tinha sido descoberto, pelos arqueólogos da empresa ERA - Arqueologia, um fundeadouro romano, durante a construção de um parque de estacionamento subterrâneo da empresa Empark.

Nesse local de ancoragem de embarcações, que terá sido usado pelo menos entre os séculos I a.C. e V d.C., foram também encontradas meia centena de ânforas e algumas peças de cerâmica. Entre os achados feitos nessa altura estava ainda uma madeira, com cerca de 8,5 metros de comprimento, que mais tarde se concluiu ser parte de uma embarcação romana que terá navegado no Atlântico.

Raul Losada, que trabalha como operador de imagem e mantém há vários anos no Facebook a página Portugal Romano (criada para divulgar a arqueologia romana em Portugal), leu a notícia e dirigiu-se às escavações com a intenção de obter autorização para fazer o seu registo. “Inicialmente a ideia era fazer um pequeno vídeo para publicar no Portugal Romano”, explica, acrescentando que o projecto foi crescendo até se perceber que havia “potencial” para um documentário.

Seguiu-se uma mal sucedida tentativa, junto de várias entidades, para obter apoios para a sua concretização. Apesar de eles não terem chegado, Raul Losada não desistiu: dedicou os seus “tempo livres, folgas e férias” a este projecto, em redor do qual conseguiu criar “muitas parcerias”. Uma delas com a Ordem da Cavalaria do Sagrado Portugal, que assegurou os momentos de reconstituição histórica que integram o documentário.

Também envolvido no projecto foi César Figueiredo, um mestre em ilustração que nos últimos anos tem trabalhado na área da arqueologia e do património. A posposta inicial era que desenhasse um navio romano, mas o trabalho de “ilustração e arqueologia virtual em três dimensões” realizado para o documentário acabou por incluir uma reconstituição da cidade romana de Olisipo.

“Foi um trabalho monstruoso”, sublinha Raul Losada, para quem se trata de “uma inédita e surpreendente recriação”. César Figueiredo confirma que este foi “um trabalho que demorou muitos, muitos meses” a concluir, acrescentando que tal se deveu à necessidade de consultar uma série de fontes de informação e de promover várias reuniões com investigadores da área.

O ilustrador admite que fazer "uma espécie de retrato robot" da cidade há cerca de dois milénios envolveu algum risco, dado que o conhecimento que se tem dessa época “ainda é parco”, apesar haver “estudos recentes de vários investigadores” sobre a matéria. César Figueiredo adianta que a recriação em três dimensões foi feita tendo por base informações já dadas como certas, como “os limites da cidade”, “o traçado da muralha” e a localização de alguns “pontos-chave”, como as fábricas de produção de preparados de peixe e o teatro romano.

SAMPAIO da Nóvoa A PRESIDENTE!!!!!!!!!!!!!


A DIREITA RADICAL VINGA-SE DE TER PERDIDO O PODER, DESTA E DE OUTRAS MANEIRAS NOJENTAS...


Sede da candidatura de Sampaio da Nóvoa vandalizada na Marinha Grande
Augusta Henriques - Antena 1
28 Nov, 2015, 18:35 / atualizado em 28 Nov, 2015, 18:42 | Política






Foto: lusa
A sede da candidatura de Sampaio da Nóvoa, na Marinha Grande, foi alvo de um ato de vandalismo durante a noite.



A mandatária distrital Isabel Rocha conta que esta manhã, quando chegou ao local, percebeu que tinham atirado pedras à loja onde está instalada a sede de candidatura.

Apesar de ter sido alvo de vandalismo, a sede da candidatura de Sampaio da Nóvoa a Presidente vai ser inaugurada este domingo, como estava previsto e com a presença do candidato.

A polícia deixou o local esta tarde depois de ter sido apresentada queixa.


Bom dia e feliz Domingo, amigos de lusibero!


De Freud...



De Freud (1856-1939), in O Citador

Quando Chega uma Carta Tua
Quando chega uma carta tua todas as divagações acabam, e acordo para a vida. Todos os problemas estranhos deixam de ter importância, os misteriosos quadros de doenças se desvanecem, e acabam-se as teorias vazias «de acordo com o estado presente da ciência», como elas são chamadas. Então o mundo fica tão acolhedor, tão alegre, tão fácil de compreender. A minha doce querida não é uma ilusão, ela não tem que ser comprovada por testes químicos; de facto ela pode ser observada a olho nú. Ainda bem que ela não tem nada a ver com doenças – e espero que continue – excepto por ter sido suficientemente imprudente para tomar um médico para amante. Oh Marty, é muito mais gratificante ser um ser humano em vez de um armazém de certas experiências monótonas. Mas ninguém se pode permitir a ser um ser humano por uma hora a não ser que tenha sido uma máquina ou um armazém por onze horas. E aqui chegámos, onde começámos.


Carta de Sigmund Freud a Martha Bernays, 9 de Outubro 1883 (excerto)

Poema de Pessoa



De Alberto Caeiro:

É Preciso Também não Ter Filosofia Nenhuma

Não basta abrir a janela
Para ver os campos e o rio.
Não é bastante não ser cego
Para ver as árvores e as flores.
É preciso também não ter filosofia nenhuma.
Com filosofia não há árvores: há idéias apenas.
Há só cada um de nós, como uma cave.
Há só uma janela fechada, e todo o mundo lá fora;
E um sonho do que se poderia ver se a janela se abrisse,
Que nunca é o que se vê quando se abre a janela.


Alberto Caeiro, in "Poemas Inconjuntos"
Heterónimo de Fernando Pessoa

De Portugal...O novo Ministro das Finanças...




Ministro das Finanças assume compromisso para redução da dívida
Ontem
O ministro das Finanças reafirmou, este sábado, que o orçamento para 2016 vai ser apresentado "o mais depressa possível" e assumiu como compromisso do novo Governo prosseguir com a redução do défice orçamental e da dívida pública.


LUÍS FORRA / LUSA
Mário Centeno discursa na sessão de encerramento dos trabalhos do IV Fórum Empresarial do Algarve







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OE2016: Centeno insiste na necessidade de rapidez e assume compromisso para redução da dívida (C/ ÁUDIO E FOTO)
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Os escolhidos de António Costa


"Não é desejável que o país esteja um prolongado período sem a aprovação de um dos seus mais relevantes instrumentos de governação", afirmou Mário Centeno, sublinhando que deve ser objetivo essencial "de qualquer boa governação assegurar finanças públicas equilibradas".

O governante falava em Vilamoura durante o seu primeiro discurso público enquanto responsável pela pasta das Finanças, que coincidiu com o encerramento do segundo dia de trabalhos do Fórum Empresarial do Algarve, que decorre até domingo sob o tema "2020, Portugal e o mundo".

De acordo com Mário Centeno, o orçamento para 2016 pretende ser "o primeiro passo para o país poder atingir os objetivos" a que o novo Governo se propôs, nomeadamente, o aumento e a proteção dos rendimentos das famílias, o alívio da asfixia fiscal, melhores condições de investimento para a empresas e o combate à pobreza.

"A austeridade não gera crescimento nem a desvalorização interna gera prosperidade, antes debilitam a economia e a sociedade, esvaziando-as através da emigração e do aumento da componente importada do investimento, do consumo, das exportações", afirmou,

O novo ministro frisou ainda que o novo Governo "honrará todos os seus compromissos internacionais, em particular no quadro da União Europeia (UE)", considerando que o país necessita de iniciar um "período de convergência" com a UE.

DE PORTUGAL...




Aspirante a freira que fugiu de convento denuncia castigos
ALEXANDRA LOPES | Hoje às 00:40
Helena Costa, de 43 anos, calou durante quase 25 anos os segredos da sua passagem pela Fraternidade Missionária Cristo Jovem, em Requião, Vila Nova de Famalicão, como "aspirante" a "freira".


GONÇALO DELGADO/GLOBAL IMAGENS
Helena Costa, aspirante a freira que fugiu da Fraternidade Cristo Jovem, em Requião







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Com as notícias sobre a intervenção da Polícia Judiciária e asacusações de escravidão sobre o padre Joaquim Milheiro e três religiosas, não aguentou mais e decidiu contar, ao JN, tudo o que que ali passou antes de fugir, incluindo o espancamento de Maria Amélia Serra, irmã que morreu 15 anos depois no "convento", supostamente por se ter suicidado.
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Hoje, Helena é casada e tem filhos, mas constituir família não foi o que sempre quis. As aparições de Medjugorje, uma zona da antiga Jugoslávia hoje parte da Bósnia, em 1981, fizeram despertar a sua vontade de entregar-se de corpo e alma à vida religiosa. E quando foi criado um grupo de oração a este propósito, juntou-se a ele. Depois, começou a frequentar a Fraternidade, quando esta ainda estava instalada no Sameiro, em Braga. Em 1989, já com 17 anos, passou uma semana em Requião e gostou, acabando por decidir entrar para a vida religiosa, mesmo contra a vontade dos pais.



Ler mais na versão e-paper ou na edição impressa

Como custou a nascer...o novo Governo!




Opinião

Alerta contrapoderes
29.11.2015
CARVALHO DA SILVA










Custou, mas nasceu! O novo Governo só foi possível porque o regime democrático constitucional português deu suficientes sinais de amadurecimento, o povo manteve a serenidade e a atenção necessárias e porque houve atores políticos com valores e coragem.

O presidente da República (PR) devia ter agido com forte preocupação de contribuir para a estabilidade do país e para ajudar a uma solução governativa nova, desde que ela surgiu com apoio parlamentar maioritário, como determina a Constituição da República. Infelizmente não o fez. Cavaco Silva e a Direita a que pertence agiram em sintonia. Sem pudor, tudo fizeram para transformar o resultado das eleições legislativas em perigosa crise política e impedir a formação do novo Governo. O atual Executivo não é, pois, filho de uma crise política, mas sim da capacidade do regime e do povo para resistirem à "institucionalização" dessa mesma crise.

A Direita mais retrógrada e o seu presidente continuarão a conjurar todos os perigos e diabos à solta, nos planos interno e externo; agora, para despertar e organizar contrapoderes. Os "esclarecimentos" pedidos a António Costa e aos partidos da Esquerda tinham por objetivo complicar o processo e, acima de tudo, identificar campos e conteúdos potenciais da ação de poderes, "forças de bloqueio", que possam perturbar o Governo, ou mesmo destruí-lo. Qual a racionalidade do "pedido de esclarecimento" do PR relativo ao setor financeiro? Será que perante novos buracos que entretanto venham a público, se colocará ao lado de interesses egoístas de banqueiros sem escrúpulos?

Cavaco Silva, que nunca se preocupou com a falta de rigor e ética do Governo PSD/CDS, e que propagandeia falsos êxitos das políticas austeritárias, ficará à espreita de qualquer dificuldade ou escorregadela do novo Governo para o perturbar e atacar.

A Assembleia da República (AR) é agora o centro fundamental da vida política, o local obrigatório de discussões, conflitos e negociações influenciadoras da governação. É uma realidade nova que exige tempo de aprendizagem. A Direita, como vem demonstrando, vai tentar provocar chicana política, furtando-se ao confronto democrático. Que aproveitamento estará Cavaco Silva disposto a fazer disso?

Na tomada de posse do Governo, o PR desconsiderou o papel da AR, ao mesmo tempo que relevou, mais uma vez, o papel da Concertação Social (CPCS). Porquê? Ele sabe muito bem que o CPCS não é um segundo Parlamento e muito menos um Parlamento autónomo. O CPCS é, no regime em que vivemos, uma relevante instituição "cuja principal atribuição é a promoção do diálogo e da concertação social". Os seus acordos são importantes em função da representação que os suporta e até pela simbologia que adquirem, mas não são leis. E jamais se podem sobrepor às decisões da AR. Os compromissos que é preciso trabalhar continuamente no mundo do trabalho, para que haja desenvolvimento económico e social passam pelo CPCS, mas incluem também a negociação coletiva - essa, sim, com força de lei à luz da Constituição da República e das normas internacionais -, o diálogo e negociação permanentes, nomeadamente nas empresas e setores de atividades. É necessário encetar um ciclo de novas práticas.

Cavaco Silva, ratão da política, sabe que a relação de forças no CPCS é mais favorável aos objetivos da Direita e de grandes interesses económicos e financeiros, e logo vê ali um possível contrapoder. Não está de forma alguma assegurado, mas o tiro pode sair-lhe pela culatra: hoje, a esmagadora maioria dos empresários portugueses pouco ou nada têm a ver com os objetivos prosseguidos pelos herdeiros de um capitalismo comprometido com o fascismo que agora agita os espantalhos dos excessos do PREC; há muito partir de pedra entre os "parceiros sociais" ao longo dos últimos anos que pode gerar aproximações e até compromissos novos; o Governo é o primeiro municiador e condutor (para o mal e para o bem) da Concertação Social e pode, se nisso se empenhar, trazer dinâmicas e conteúdos inovadores àquele importante espaço de diálogo e negociação.

Fiquemos atentos não apenas à ação do Governo, mas também à organização e ação dos contrapoderes.

Bagão Félix considera caso dos vistos Gold mais grave do que investigação a Sócrates
Bagão Félix considera que o caso dos vistos Gold é mais grave do que a investigação a José Sócrates. No comentário semanal que tem na Edição da Noite,…
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sábado, 28 de novembro de 2015


O FALSO passos!!!!!!!!!!!!


A carta de Passos a Sócrates em 2011 prometia apoio à vinda da troika


São José Almeida

15/09/2015 - 23:40


PÚBLICO revela na íntegra, pela primeira vez, a carta que o líder do PSD dirigiu ao então primeiro-ministro a 31 de Março de 2011 para que este pedisse apoio externo.Passos Coelho e José Sócrates encontraram-se diversas vezes em 2011 PEDRO CUNHA/ARQUIVO




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As palavras são lapidares na carta assinada por Pedro Passos Coelho, a 31 de Março de 2011, e dirigida ao então primeiro-ministro, José Sócrates, e agora revelada pelo PÚBLICO. “Nestas circunstâncias, entendo ser meu dever levar ao seu conhecimento que, se essa vier a ser a decisão do Governo, o Partido Social Democrata não deixará de apoiar o recurso aos mecanismos financeiros externos, nomeadamente em matéria de facilidade de crédito para apoio à balança de pagamentos.”

As palavras escritas pelo líder do PSD são irrefutáveis e davam a sua aprovação expressa e o apoio a que o Governo avançasse com o pedido de empréstimo externo de 78 mil milhões de euros à Comissão Europeia, ao Banco Central Europeu e ao Fundo Monetário Internacional. O pedido de intervenção externa seria feito pelo primeiro-ministro, José Sócrates, uma semana depois, a 6 de Abril. Mas a carta de Passos Coelho dava luz verde e defendia essa estratégia para fazer face aos problemas orçamentais do Estado português.

Na carta a que o PÚBLICO teve acesso – e que é divulgada pela primeira vez –, Passos Coelho começa por afirmar a sua preocupação com as informações que possui através do Banco de Portugal e da Associação Portuguesa de Bancos.

“Recebi hoje informação, da parte do senhor Governador do Banco de Portugal, de que o nosso sistema financeiro não se encontra, por si só, em condições de garantir o apoio necessário para que o Estado português assegure as suas responsabilidades externas em matéria de pagamentos durante os meses mais imediatos. Ainda esta manhã o senhor Presidente da Associação Portuguesa de Bancos transmitiu-me idêntica informação”, afirma o primeiro-ministro, acrescentando então: “Estes factos não podem deixar de motivar a minha profunda preocupação.”
A carta assinada por Pedro Passos Coelho está datada de 31 de Março de 2011DR

De seguida, Passos Coelho lembra a posição de José Sócrates, ou seja, a recusa do primeiro-ministro em pedir ajuda financeira sob a forma de intervenção negociada com as três instituições, Comissão Europeia, BCE e FMI. “Não desconheço que o Governo tem repetidamente afirmado que Portugal não necessitará de recorrer a qualquer mecanismo de ajuda externa e é certo que a competência pela gestão das responsabilidades financeiras do país cabe por inteiro ao Governo".

Assim como reconhece que compete ao Governo decidir e é o executivo que detém a informação total sobre o estado das contas públicas e os constrangimentos orçamentais. “Não disponho de informação sobre as acções e diligências que o Executivo estará a desenvolver para assegurar o cumprimento dessas obrigações.” Mas advoga que, “porém, é do conhecimento público a situação do mercado que a República vem defrontando, desde há vários meses a esta parte, bem como o facto de o sistema bancário se encontrar sem acesso ao mercado desde há mais de um ano”.

Daí que Passos Coelho prossiga afirmando que, “atenta a especial sensibilidade desta matéria e as gravíssimas consequências que decorriam” para Portugal “de qualquer eventual risco de incumprimento, é essencial que o Governo garanta, com toda a segurança e atempadamente, adopção das medidas indispensáveis para evitar tal risco”.

Na carta Passos Coelho informa ainda José Sócrates de que “considerando a extrema relevância desta matéria” irá dar “conhecimento desta carta confidencial ao senhor Presidente da República”.

O resto da história é conhecido. No dia seguinte, 1 de Abril, Passos declarava à Lusa que “se o Governo achar que por qualquer razão, é preciso contrair um empréstimo especial para evitar incumprimento de Portugal no exterior, o Governo tem todas as condições para o poder fazer, e não é o PSD que vai pôr isso em causa. O PSD apoiará isso”. Isto no mesmo dia em que o governador do Banco de Portugal, Carlos Costa, escrevia ao primeiro-ministro. Já a 2 de Abril foi a vez do líder do CDS, Paulo Portas, declarar à Lusa: "Não faço parte dos que diabolizam o FMI."

A 4 de Abril, é a vez de a tese da intervenção externa ser apoiada pelos principais banqueiros Ricardo Salgado, Carlos Santos Ferreira, Faria de Oliveira, Fernando Ulrich e Nuno Amado, que depois de uma reunião com Carlos Costa, se dirigiram para o manifestar ao ministro das Finanças, Teixeira dos Santos. No dia seguinte, os banqueiros reúnem-se com Passos Coelho e a 6 com Cavaco Silva.

Na tarde desse dia 6 de Abril, o Jornal de Negócios publica uma declaração em que o ministroTeixeira dos Santos diz que a intervenção era inevitável. Menos de três horas depois, o primeiro-ministro, José Sócrates, assumiu perante as televisões o pedido de ajuda.

Fala um homem do CDS de portas...



“PSD e CDS-PP forçaram a entrada da troika em Portugal”, afirma Lobo Xavier
17/05/2013 00:00
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António Lobo Xavier disse na noite desta quinta feira que a entrada da troika em Portugal resultou da pressão exercida pelo PSD e pelo CDS-PP.

A chanceler Angela Merkel “não queria uma intervenção concertada, regulada, com um memorando. Este aparato formal de memorando com regras, promessas e compromissos, tudo medido à lupa”, sublinhou.

Foi durante o programa “Quadratura do Círculo”, exibido semanalmente na Sic Notícias, que o histórico do CDS-PP teceu estes comentários, acrescentando mesmo que a entrada em Portugal das três instituições que compõem a troika foi liderada por um “aprendiz de feiticeiro”, referindo-se a Passos Coelho.

“O aprendiz de feiticeiro é o primeiro-ministro”, clarifi
cou.

Do Papa Francisco


A CURA DA LEUCEMIA????????????? Deus é grande!


El mundo entero celebra esta noticia: Se ha descubierto la cura para la leucemia 23 Mayo 2014 Visto: 16761




“Al poco tiempo de haber aplicado la inyección, el cáncer se había extendido por todo su cuerpo y casi de inmediato se convirtió en no detectable”, añadió Russell. El caso de la fémina de 50 años de edad, viene a dar respuesta a las suposiciones que muchos médicos a escala mundial, venían realizando sobre el antídoto para atacar la enfermedad que sigue afectando a miles de personas en el mundo.



Un grupo de médicos estadounidenses logró sanar a una paciente que padecía leucemia inyectándole una vacuna contra el sarampión.

La noticia llena de emoción a los profesionales de la salud de todo el mundo, quienes han intentado por muchos años buscar un antídoto para combatir la terrible enfermedad.

La beneficiaria fue identificada como; Stacy Erholtz de 50 años de edad, quien a mediados del año 2013 se encontraba sumida en el dolor, tras quedar sin opciones de tratamiento para atacar su leucemia (cáncer en la sangre).

Su desesperación la llevó a participar en un ensayo que promueve un grupo de investigadores sin fines de lucro hace más de 150 años en la Clínica Mayo, al oeste de Estados Unidos.

Entre tanto, el investigador principal del proyecto, Stephen Russell reveló que a Erholtz le inyectaron en la sangre una vacuna contra el sarampión en una dosis lo suficientemente fuerte como para inocular a 10 millones de personas.

“Al poco tiempo de haber aplicado la inyección, el cáncer se había extendido por todo su cuerpo y casi de inmediato se convirtió en no detectable”, añadió Russell.

Subrayó que el experimento confirma las suposiciones que muchos médicos habían realizado por muchos años y que hasta la fecha no se habían comprobado en los seres humanos.

“Se trata de un hito. Hemos sabido durante mucho tiempo que podemos inyectar un virus por vía intravenosa y destruir el cáncer metastásico en ratones. Pero hasta ahora nadie ha demostrado que se puede lograr en humanos”, aseveró Russell.

A mediados de febrero del 2014, un grupo de investigadores logró dar con un tratamiento que entrena al sistema inmune de pacientes con leucemia avanzada para que este frene a las células cancerosas. Los resultados del estudio revelaron que el tratamiento podría mejorar la inmunoterapia contra el cáncer.



http://www.noticiasaldiayalahora.co/index.php/salud/4613-el-mundo-entero-celebra-esta-noticia-se-ha-descubierto-la-cura-para-la-leucemia.html

Do PROF. PACHECO PEREIRA... (in "Público")










OPINIÃO
Acabou!!!! Acabou. Acabou?


JOSÉ PACHECO PEREIRA

28/11/2015 - 05:09


Experimentem dizer “acabou” junto de uma das inumeráveis vítimas destes anos de “ajustamento” e vão ver como é a resposta.




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Acabou!!!!

Experimentem dizer “acabou” junto de uma das inumeráveis vítimas destes anos de “ajustamento” e vão ver como é a resposta. Eu já experimentei várias formas e têm todas um ponto de exclamação no fim ou outro qualquer expletivo. Ou é um suspiro fundo de quem atravessou um trajecto complicado e, chegado a outro lado, respira longamente de alívio; ou é um alto e sonoro “acabou” como antes do 25 de Abril se chegava ao “às armas” da Portuguesa e de repente toda a gente gritava a plenos pulmões; ou é uma espécie de vingança saborosa em ver na mó de baixo aqueles que sempre entenderam que têm o direito natural de estar na mó de cima.

Ou há mesmo uma variante irónica, como se o “acabou” fosse semelhante ao do episódio dos Monty Python em que uma personagem num pub dizia para um eleitor circunspecto do PAF ao lado “you know what I mean?” e tocava-lhe nos braços numa cumplicidade admitida. Wink, wink. No episódio, depois queria vender-lhe fotografias pornográficas: “you know what I mean?” Aqui, era uma fotografia de Cavaco Silva a “indicar” António Costa, wink, wink. Até eu fico da escola do engraçadismo, imaginando alguns personagens que andaram a insultar a nossa inteligência, a mentir-nos descaradamente, e a atacar o bolso dos que não se podiam defender, culpando-os de “viverem acima das suas posses” e de serem “piegas”.

“You know what I mean?”. Piu-pius governamentais que vivem no Twitter; irrevogáveis de geometria variável; o “impulsionador jovem” que aos saltos no palco dizia à assistência “ó meu, isso da história não serve para nada”; os “justiceiros geracionais” que queriam tirar as reformas aos pais e avós para em nome de uns abstractos filhos e netos as darem a “outros” pais e avós, bem vivos e presentes, em nome da “estabilidade do sistema financeiro”; os neo-malthusianos que nos encheram de simplismos gráficos em que se escolhiam os parâmetros e se excluíam outros para concluir que “não há alternativa”; os arrojados ultra-liberais, que queimam o valor dessa bela palavra de liberdade, e que proclamam que nunca, jamais e em tempo algum quereriam “casar” com as “esganiçadas” do Bloco, sem sequer perceber o que lhes diz o espelho; as mil e um personagens ridículos cuja desenvoltura vinha de terem poder, estarem encostados ao poder e entenderem que tinham impunidade para pisar os outros porque eram mais fracos e tinham menos defesas. Vamos todos dançar a tarantela para expulsar o veneno.

Acabou!!! Sabem ao que me refiro? Sabem, sabem. Bem demais.



Acabou.

Acabou. Percebe-se no ar que chegou ao fim uma época, um momento da nossa vida colectiva e que existe um desejado ponto sem retorno. E, na verdade, para “aquilo” já não é possível voltar, pode ser para outra coisa pior ou para outra coisa diferente, mas para o mesmo já não há caminho.

O modo como “acabou” conta muito, porque é diferente dos modos tradicionais da vida política portuguesa. Se o governo PSD-PP tivesse acabado nas urnas por uma vitória do PS mesmo tangencial, o efeito de ruptura estaria muito longe de existir, mesmo que o governo PS não fizesse muito de diferente do que o actual governo minoritário vai fazer. Foi a ecologia da vida política portuguesa que mudou, com o fim da tese do “arco de governação” e, mais do que qualquer solução, que pode ser precária, não durar ou acabar mal, acabou a hegemonia de uma das várias construções que suportavam a ideologia autoritária que minava a democracia nestes dias, a do “não há alternativa”.

Acabaram os votos de primeira e os de segunda, com o escândalo de também os votos de um torneiro numa oficina de reparações, que faz todas as opções erradas e tribunícias, é sindicalizado nos metalúrgicos, vive na margem sul, e vota na CDU, também valer para que haja um governo de pacíficos funcionários públicos e professores que votam no PS, ex-membro do “arco da governação”. Não é por amor ao governo de Costa, nem ao PS, é outra coisa, é porque não queriam os “mesmos” e foi essa força que os fez acabar. Vem aí o PREC? Se a asneira pagasse multa podíamos enviar os asneirentos num pacote para pagar a dívida e ainda ficávamos com um superavit.

Dos Estados Unidos(in "Público"


Três pessoas mortas após tiroteiro em clínica que faz abortos nos EUA


REUTERS

28/11/2015 - 09:04


Homem entrou numa clínica no Colorado e disparou. Um polícia foi morto. Suspeito rendeu-se.Homem algemado depois dos disparos na clínica de aborto ISAIAH J. DOWNING/REUTERS




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Um tiroteio na passada sexta-feira numa clínica que faz abortos na cidade de Colorado Springs, nos Estados Unidos, acabou por provocar a morte de três pessoas, incluindo um polícia, e feriu mais nove, entre as quais cinco polícias, de acordo com Peter Carey, o chefe da Polícia de Colorado Springs.

Um pedido de urgência foi feito por volta das 11h30 (18h30, hora de Lisboa) depois de um homem ter entrado na clínica. Algum tempo depois a polícia interveio. Passadas cinco horas, o homem rendeu-se. Os nove feridos estão estáveis em hospitais naquela área, de acordo com Peter Carey.

Os polícias demoraram mais tempo para tornar o edifício seguro porque o suspeito levou para a clínica “algumas malas” e deixou outras fora da clínica. Todas tiveram de ser revistas para se verificar se continham explosivos.

Um fotojornalista da agência Reuters, que testemunhou a cena, viu um homem com uma t-shirt branca algemado a ser transferido de um veículo blindado da polícia – usado para entrar no edifício – para um carro da polícia sem insígnias. Segundo informação oficial, não se espera confirmar a identidade do suspeito antes deste sábado, mas os polícias acreditam que agiu sozinho.

Os jornais Denver Post e Colorado Springs Gazette revelaram na sexta-feira à noite que o suspeito tinha sido identificado como Robert Lewis Dear, segundo uma fonte oficial que não revelou o nome. O Denver Post dizia que o homem tinha 57 anos. O agente morto foi identificado como Garrett Swasey, de 44 anos. O polícia trabalhava no campus da Universidade do Colorado e juntou-se à polícia da cidade na resposta ao tiroteio, segundo informação oficial.

A polícia não quis revelar a motivação do homem para fazer um ataque armado à clínica. Mas Vicki Cowart, a presidente do Rocky Mountains Planned Parenthood, responsável por quatro clínicas, incluindo a de Colorado Springs, defendeu que nos Estados Unidos está a crescer um clima de terror em torno do tema do aborto, fomentando este tipo de violência. “Partilhamos a mesma preocupação de muitos americanos de que os extremistas estão a criar um ambiente venenoso que alimenta o terrorismo doméstico neste país”, disse.

A clínica de Colorado Springs tem sido alvo de protestos repetidos por activistas contra o aborto. O tema divide o estado do Colorado tal como divide o país. De acordo com a Federação Nacional de Aborto, pelo menos, oito trabalhadores de clínicas de aborto foram mortos desde 1977.