"As minhas palavras têm memórias ____________das palavras com que me penso, e é sempre tenso _________o momento do mistério inquietante de me escrever"
quinta-feira, 1 de outubro de 2015
Dans "Le Figaro.fr"
La défiance envers Hollande persiste dans l'opinion
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Par Carl Meeus
Mis à jour le 01/10/2015 à 12:06
Publié le 01/10/2015 à 11:00
SONDAGE - Le chef de l'État reste très impopulaire auprès des Français, selon le baromètre TNS Sofres du mois d'octobre pour le Figaro Magazine.
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Source Le Figaro Magazine
L'impopularité de François Hollande est comme le sparadrap du capitaine Haddock: il n'arrive pas à s'en débarrasser! Depuis deux ans, la cote de confiance du président de la République n'a pas réussi à remonter au-dessus de 23 %. Malgré les stratégies de communication, les déplacements et les selfies, les événements extérieurs, les documentaires, rien n'y a fait. Le chef de l'Etat est impopulaire. Cette rentrée est peut-être même la pire pour François Hollande. L'année dernière, il pouvait attribuer la chute de sa cote de confiance à la publication du livre de son ex-compagne Valérie Trierweiler, voire aux attaques politiques d'un Arnaud Montebourg ou d'une Cécile Duflot. Mais cette année? Rien de tel. Et pourtant, le Président perd quasiment autant en quatre mois que l'année précédente (-4 entre juillet et octobre 2014, -3 entre juillet et octobre 2015).
Pire, les sympathisants socialistes qui lui font confiance, le cœur de son électorat, redeviennent minoritaires (44 % contre 53 %). François Hollande, qui avait réussi à déminer la primaire et les candidatures alternatives dans son camp, risque de voir revenir la question pour 2017! Comment le PS peut-il croire en la victoire si son candidat naturel est le Président le plus impopulaire de la Ve République? «Parce qu'aujourd'hui, tout le monde a intérêt à ce qu'il soit candidat», explique l'un de ses amis. Quitte à perdre dès le premier tour, autant qu'il y aille et que les autres tentent de reconstruire un parti sur les décombres de sa défaite. Peu nombreux sont ceux qui misent sur sa victoire.
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A droite, on compte sur la logique électorale: «Quand trois dominos tombent (municipales, cantonales, régionales), le quatrième qui est à quelques millimètres tombe aussi, c'est mathématique.» A gauche, certains de ses proches pensent qu'il a encore une carte à jouer. «Si la gauche veut avoir la moindre chance d'être au second tour, elle doit changer de logiciel», assure un ami du Président. D'où l'offensive d'un Macron pour tenter de bouger les lignes. François Hollande a moins d'un an pour imposer un nouveau logiciel électoral à son camp et convaincre «les gens d'à côté», ceux qui ne vont pas voter, ceux qui doutent, qu'ils doivent revenir vers lui. Mais cela suffira-t-il? Rien n'est moins sûr car à droite, comme le confie un élu, «pour le moment on le protège, on retient nos coups. Mais dans la campagne, on se lâchera». Et face aux attaques de la gauche, du centre et de la droite, François Hollande sera bien seul…
DOCUMENT - L'intégralité du baromètre politique TNS Sofres pour le Figaro Magazine
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